Le patron d’OpenAI Sam Altman a annoncé sur le réseau X plusieurs nouveautés qui permettront de personnaliser le robot conversationnel.
D’ici quelques semaines, les utilisateurs de ChatGPT pourront par exemple lui demander:
de répondre «de manière très humaine»;
d’utiliser des émojis;
de se comporter comme un ami.
En décembre, un nouveau système de vérification d’âge devrait permettre aux utilisateurs adultes d’accepter des contenus pour adultes – comme du contenu érotique.
Le détaillant de Toronto (TSX: CTC) a signalé une atteinte à sa sécurité informatique.
Elle aurait exposé les renseignements de 150 000 clients détenant un compte en ligne dans l’une de ses enseignes, dont Sports Experts et l’Équipeur.
Les données concernées incluent les noms, adresses, adresses courriel, années de naissance, mots de passe et, pour certains, des numéros partiels de carte de crédit.
Canadian Tire affirme qu’elle a corrigé la brèche et contactera les clients concernés dans les prochains jours.
D’ici la fin de l’année, Instagram va encore restreindre le type de contenu auquel ses utilisateurs âgés de 13 à 17 ans pourront avoir accès.
Instagram va s’inspirer de la classification PG-13, utilisée aux États-Unis pour avertir les parents qu’un contenu est déconseillé aux enfants de moins de 13 ans.
Le réseau social a indiqué que les comptes d’adolescents:
n’auront plus accès à des publications au contenu grossier, sexuel ou montrant des drogues ou de l’alcool;
ne pourront pas avoir de conversations sur ces sujets avec le robot conversationnel IA de Meta.
BCE (TSX: BCE), la société mère de Bell Canada, a annoncé à ses investisseurs qu’elle lancera au cours des prochaines semaines un service Internet en Colombie-Britannique et en Alberta.
Bell prévoit par ailleurs d’étendre la couverture du réseau de fibre qu’elle a acquis cet été aux États-Unis pour qu’il atteigne environ 3 millions d’emplacements.
C’est ce qu’ont constaté la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante et Investissement Québec dans un sondage mené auprès d’entreprises québécoises.
Ils observent que les petites PME gagnent plus par dollar investi dans l’automatisation de processus.
Plus précisément, chaque tranche de 1000 $ investis a généré un gain de productivité moyen de 1% dans les micro-entreprises de 4 employés ou moins.
Le gain de productivité était 150 fois moins élevé dans les grandes entreprises comptant plus de 500 employés.
Reprendre une entreprise, c’est construire sur des fondations solides, apporter votre propre vision et écrire la suite d’une histoire qui vous ressemble.
Au Fonds, on accompagne chaque transfert d’entreprise avec un financement sur mesure et une véritable approche humaine. On connaît le terrain, on comprend la réalité propre à chaque région, et on met tout en oeuvre pour faciliter les transferts des entreprises d’ici, afin que vos projets prennent vie.
C’est ce qui ressort d’une enquête du magazine Protégez-Vous réalisée dans plus de 180 pharmacies appartenant à neuf grandes chaînes présentes à travers le Québec.
Protégez-Vous a comparé les prix de quatre médicaments génériques courants pour les personnes couvertes par un régime d’assurance privé.
Costco est la chaine qui propose, en moyenne, les meilleurs prix.
Familiprix affiche, en moyenne, les prix les plus élevés.
L’un des médicaments comparés, le Citalopram (contre l’anxiété), coute en moyenne par année:
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Joel Mokyr, Philippe Aghion et Peter Howitt (source: prix Nobel / Niklas Elmehed)
L’Américano-Israélien Joel Mokyr, le Français Philippe Aghion et le Canadien Peter Howitt ont été récompensés pour leurs travaux sur «la croissance économique stimulée par l’innovation».
Mokyr a identifié «les conditions préalables à une croissance durable», obtenues par l’exploitation technologique des progrès scientifiques.
Howitt et Aghion ont développé la théorie selon laquelle la croissance est soutenue par une «destruction créatrice» – lorsqu’un nouveau produit plus performant arrive sur le marché, il détrône les anciens produits.
Le prix Nobel de la paix a été décerné à la cheffe de l’opposition vénézuélienne, Maria Corina Machado, pour «son combat» pour la démocratie.
La gestion par compétences ne devrait plus être l’apanage des grandes entreprises. Elle constitue un levier concret pour faire progresser vos équipes et fidéliser vos talents.
En contexte de rareté de main-d’œuvre, miser sur les compétences devient un avantage concurrentiel clé, surtout auprès de la nouvelle génération.
Paméla Bérubé, CRHA, est vice-présidente et cofondatrice de Go RH et parcourt le Québec comme formatrice-conférencière.
Un cadre clair, des objectifs concrets
Gérer par les compétences, c’est avant tout structurer.
Cela implique:
d’identifier les compétences clés de chaque poste;
d’évaluer celles déjà en place dans votre équipe;
de cibler celles à développer.
Ce cadre vous permet de fixer des attentes claires et d’accompagner vos employés de manière plus ciblée en termes de développement professionnel.
Pourquoi c’est un bon pari, dès maintenant?
Au Québec, 61,6% des entreprises ont rapporté des lacunes en compétences.
C’est un taux supérieur à la moyenne nationale (Statistique Canada), sans compter qu’une grande majorité des emplois canadiens seront exposés à une transformation liée à l’IA et aux technologies émergentes.
Or, les entreprises se doivent d’amorcer des stratégies concrètes pour prendre en charge et développer significativement les compétences de leurs équipes.
D’autant plus que les jeunes professionnels – particulièrement ceux issus de la génération Z qui occupera une grande place dans le marché du travail dans les prochaines années – recherchent un environnement où ils peuvent évoluer.
Leur offrir un plan d’évolution basé sur les compétences répond à cette attente, tout en assurant une meilleure adéquation entre les besoins de l’entreprise et le développement professionnel.
3 actions concrètes pour intégrer la gestion par compétences
1. Cartographiez les compétences de vos postes-clés: listez les savoirs, savoir-faire et comportements attendus (savoir-être).
2. Impliquez vos équipes: co-construisez avec vos employés leur parcours d’apprentissage, en leur offrant une variété de stratégies de formation (coaching, compagnonnage, mentorat, e-learning, micro-learning).
3. Faites des bilans réguliers: intégrez les compétences dans vos évaluations, et ajustez les objectifs selon les évolutions du poste ou du marché.
Un outil de rétention et de performance
En montrant à vos employés que leurs compétences sont reconnues et développées, vous renforcez leur engagement.
Vous évitez aussi les pertes de savoirs et la dépendance à quelques individus clés.
Et surtout, vous développez une culture d’apprentissage continue, essentielle pour rester compétitif et innovant dans le marché.
En résumé
La gestion par compétences n’est pas une mode : c’est une méthode structurée, applicable à toutes les tailles d’entreprise, qui permet d’aligner vos objectifs d’affaires avec la progression de vos talents.
Vous souhaitez implanter une approche de gestion par compétences dans votre entreprise?Prenez rendez-vous avec un conseiller Go RH.
Pour traiter les requêtes de leurs clients, les employés des fournisseurs informatiques de services gérés (managed service providers, ou MSP) doivent passer beaucoup de temps à trouver et organiser des informations.
La jeune pousse montréalaise Mizo a conçu un agent d’IA qui s’intègre aux outils existants des fournisseurs de services TI pour automatiser les tâches répétitives liées à la recherche et la collecte de données. Il permet aux techniciens de se concentrer sur le service aux clients.
Le problème
«Plus de neuf PME sur dix externalisent la gestion de leurs TI à des fournisseurs de services gérés», dit à InfoBref Mathieu Tougas, cofondateur et PDG de Mizo.
Il a observé que les MSP sont soumis à plusieurs contraintes qui nuisent à leur productivité.
«Pour répondre à la requête d’un client, un employé d’un MSP doit souvent analyser beaucoup d’informations difficiles à trouver, et répéter plusieurs tâches manuelles», explique-t-il.
Ces tâches accaparent les ressources humaines des MSP et pèsent sur leurs marges.
Mizo a conçu un agent d’IA qui s’intègre aux outils existants des MSP pour automatiser la grande majorité des tâches manuelles et répétitives.
L’agent cherche et organise les informations nécessaires à la résolution d’une requête par un technicien.
Par exemple, pour une demande de réinitialisation de mot de passe, l’agent recueille toutes les informations nécessaires pour que le technicien puisse agir rapidement:
les informations personnelles de l’employé
les logiciels et services qu’il utilise, par ordre prioritaire
«L’agent d’IA s’assure que le technicien ait tout ce dont il a besoin pour être le plus efficace possible afin qu’il puisse se concentrer sur le service client et les tâches à valeur ajoutée», résume Mathieu Tougas.
L’agent de Mizo pourra s’intégrer à une plusieurs logiciels existants utilisés par les MSP, tels que Connectwise Manage.
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Le modèle d’affaires
Mizo a commencé cette année à commercialiser son agent au Canada.
Ses clients paient à l’utilisation.
L’entreprise facture 0,70 $ pour chaque requête qu’un MSP résout à l’aide de l’agent.
Mathieu Tougas estime que l’agent d’IA permet de diviser par 10 le coût du traitement d’une requête qui aurait auparavant été effectuée manuellement.
Mizo bénéficie d’un accompagnement personnalisé par l’Accélérateur de création d’entreprises technologiques (ACET). [Découvrez d’autres jeunes entreprises québécoises innovantes soutenues par cet organisme et par d’autres.]
Mizo va lancer son agent aux États-Unis le 5 novembre lors de l’évènement IT Nation Connect à Orlando, en Floride.
Les organisateurs de cette conférence ont d’ailleurs sélectionné la jeune pousse parmi les 3 firmes les plus innovantes de l’industrie des services informatiques.
L’an prochain, Mizo veut faire passer de 30% à 50% la proportion des tâches de traitement de services TI que son agent permet d’automatiser.
La jeune pousse compte également obtenir du financement pour accélérer sa commercialisation, notamment aux États-Unis.
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