Michael Ma (capture d’écran d’une vidéo de la Chambre des communes)
Michael Ma, un député conservateur de la région de Toronto, a annoncé qu’il quittait son parti pour se joindre au caucus du Parti libéral du Canada.
Le député a dit qu’il était arrivé à la conclusion que Mark Carney propose une «approche stable et pratique» pour répondre aux «priorités» des Canadiens, comme:
«rendre la vie plus abordable;
bâtir une économie canadienne forte».
Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur, a affirmé que le député avait «choisi d’appuyer les politiques qu’il s’était engagé à combattre».
Les libéraux sont désormais à un seul siège d’une majorité.
L’Assemblée nationale vient d’adopter à l’unanimité une loi qui vise à favoriser la présence, la visibilité et la recommandation des contenus culturels francophones sur Netflix, Spotify ou Disney+.
Cette loi doit permettre au gouvernement d’obliger:
les plateformes de contenu audiovisuel, de musique, de balados et de livres audio à proposer dans leurs catalogues un quota minimum de contenus culturels francophones;
les fabricants de téléviseurs et d’appareils connectés à mettre en valeur des plateformes proposant majoritairement des contenus culturels francophones, comme Télé-Québec.
J’ai sélectionné pour vous quelques aubaines populaires cette semaine et qui bénéficient de rabais allant de 27 à 64%.
Prix et rabais constatés au moment de la publication jeudi 11 décembre. Les prix peuvent avoir été modifiés sans préavis par le détaillant au moment où vous consultez cette page.
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On pousse, ça roule, la neige s’en va.
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C’est clairement un prix record pour un robot qui fait tout, sauf te servir un espresso.
Il se lance automatiquement après chaque repas: sol impeccable, sans que j’aie levé le petit doigt.
Et il ne sent même pas la vadrouille oubliée. Juste propre.
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Mark Carney dit qu’il veut faire du Canada une «super-puissance énergétique», notamment en exportant du gaz naturel liquéfié et d’autres sources d’énergie vers les pays asiatiques.
Le professeur Pierre-Olivier Pineau, titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie à HEC Montréal, croit que le Canada ferait «une erreur stratégique» s’il tentait «de se positionner encore plus comme un fournisseur d’énergie en Asie».
Il avance 3 raisons:
un risque de concentration sur les ressources naturelles;
des couts peu concurrentiels de production et de transport;
un impact négatif sur les émissions de GES.
À l’issue d’un voyage de 9 jours en Asie, le premier ministre fédéral a déclaré le mois dernier que d’ici 2030 le Canada fournirait 50 millions de tonnes de GNL par an aux pays asiatiques, et qu’il pourrait en fournir le double d’ici 2040.
Pierre-Olivier Pineau reconnait que le Canada a des ressources énergétiques qui lui permettraient de contribuer davantage à l’approvisionnement de l’Asie.
Il soutient toutefois, en entrevue à InfoBref, que ce ne serait «pas avantageux de le faire», et ce pour trois raisons.
1) L’économie canadienne est «déjà très axée sur les ressources naturelles».
Il juge qu’il ne faut pas leur «tourner le dos», mais qu’il faudrait plutôt les voir «comme un secteur limité, duquel il faut chercher à se diversifier».
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2) Les coûts de production et de transport des hydrocarbures canadiens sont «plus élevés que ceux de ses compétiteurs».
«Il y a actuellement une abondance de gaz naturel et de pétrole dans les marchés – les bas prix en sont le reflet», note le professeur.
Il estime que ce ne serait «pas très rentable» pour le Canada de miser sur ces produits.
3) D’un point de vue environnemental, le Canada «doit chercher des sources énergétiques qui n’émettent pas de GES».
«Le Canada est un chef de file en hydroélectricité et en nucléaire, rappelle Pierre-Olivier Pineau. Il développe aussi un secteur de l’éolien et du solaire, qui pourrait inspirer l’Asie.»
Le professeur croit par ailleurs que le Canada a d’importants progrès à faire en efficacité énergétique.
Selon lui, cela pourrait être:
«une source de productivité et de croissance» pour le pays;
«une expertise» qu’il pourrait transférer ailleurs.
L’entreprise montréalaise a dépassé les attentes à son trimestre terminé début novembre.
Dollarama (TSX: DOL) a augmenté, sur un an, de 22% son chiffre d’affaires et de 17% ses profits.
Le détaillant explique que la conjoncture économique «imprévisible» resserre le budget des consommateurs.
Ils restreignent leurs dépenses et cherchent les aubaines, a précisé le directeur financier de l’entreprise à des analystes lors d’un appel pour commenter les résultats.
La Cour supérieure de l’Ontario a autorisé l’entreprise, qui s’est placée sous la protection de ses créanciers en mars, à vendre le document historique afin de rembourser ses créanciers.
La charte avait été émise en 1670 par le roi d’Angleterre Charles II.
Elle avait donné à la Compagnie de la Baie d’Hudson le contrôle d’un important territoire de l’actuel Canada.
Le document sera vendu pour 18 millions $ à deux grandes familles canadiennes des gens d’affaires: les Thomson et les Weston.
Elles se sont engagées à le remettre à quatre institutions publiques canadiennes, qui se le partageront.
La société d’État va lancer au printemps un appel d’offres pour de l’énergie éolienne.
Les nouvelles infrastructures qu’elle souhaite faire construire visent à répondre à la croissance de la demande en électricité.
Hydro-Québec a par ailleurs dévoilé une carte de son réseau qui indique les endroits où ses infrastructures seraient suffisantes pour accueillir de nouvelles éoliennes.
Plusieurs de ces endroits sont situés sur la Rive-Sud de Montréal, dont à Châteauguay, Laprairie et Varennes.
Disney (NYSE: DIS) va investir 1 milliard $US dans OpenAI pour en devenir actionnaire.
Le géant américain des médias recevra également des bons de souscription qui lui permettront d’acheter plus tard des actions supplémentaires d’OpenAI, à un prix convenu d’avance.
OpenAI obtient en parallèle une licence d’utilisation de personnages de Disney.
Grâce à cette licence, l’entreprise d’intelligence artificielle permettra aux utilisateurs de son application Sora de créer de courtes vidéos en utilisant plus de 200 personnages de Disney, Marvel, Pixar et Star Wars.
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Le Tribunal administratif du travail a approuvé hier une grève de temps supplémentaire des employés d’entretien de la Société de transport de Montréal.
Cette grève débute aujourd’hui et, à défaut d’une entente, devrait durer un mois.
Le métro devrait continuer à circuler toute la journée.
Le service de bus serait luiperturbé si la grève perdure, selon la STM.
Pablo Rodriguez au congrès de l’UPA (source: compte Facebook du chef libéral)
L’Unité permanente anticorruption (Upac) avait indiqué le mois dernier qu’elle validait des informations concernant des «allégations d’actes répréhensibles» visant le parti d’opposition.
L’Upac a annoncé hier qu’elle ouvrait officiellement une enquête.
Le chef libéral Pablo Rodriguez a affirmé que le parti va «pleinement collaborer».
Il maintient qu’il n’a lui même rien à se reprocher et dit qu’il entend rester à la tête du PLQ.
Le Journal de Québec avait rapporté hier que plusieurs députés caquistes, qui sont restés anonymes, croient que leur chef devrait réfléchir à son avenir politique.
François Legault a répliqué qu’il était «allé prendre une marche dans la neige» et qu’il avait décidé de rester en poste jusqu’aux prochaines élections.
Legault faisait référence à la promenade hivernale qu’avait prise l’ancien premier ministre fédéral Pierre Elliott Trudeau avant de démissionner, en 1984.
Mélanie Joly (source: compte Facebook de la ministre fédérale)
Mélanie Joly, ministre fédérale de l’innovation, des sciences et de l’industrie, a annoncé un investissement de 1,7 milliard $ pour attirer ou ramener au Canada «les meilleurs talents».
Plus de la moitié de cette somme servira à financer des chaires de recherche dans des universités.
Joly s’est adressée aux chercheurs canadiens qui travaillent à l’étranger, en leur disant qu’«il était temps de rentrer».
La ministre invite par ailleurs les chercheurs «du monde entier» à s’établir au Canada.
Ottawa souhaite recruter des scientifiques hautement qualifiés dans plusieurs domaines «essentiels», comme la médecine, l’intelligence artificielle et l’aérospatiale.
Le réseau social teste aux États-Unis une fonction qui permet à ses utilisateurs de préciser le type de vidéos courtes qu’ils souhaitent voir défiler en rafale dans la section Reels.
Un utilisateur peut ainsi:
voir les thèmes des vidéos qui, selon l’algorithme d’Instagram, semblent l’intéresser le plus;
orienter les choix futurs de l’algorithme en ajoutant lui-même les thèmes qui l’intéressent et en enlevant ceux qui ne l’intéressent pas.
Instagram prévoit de déployer cette fonction ailleurs dans le monde.