Warren Buffett (capture d’écran d’une vidéo de CNBC)
Le célèbre investisseur américain cédera sa place à Greg Abel, l’actuel vice-président du conglomérat Berkshire Hathaway (NYSE: BRK), que Warren Buffett dirigeait depuis 60 ans.
Buffett a toutefois indiqué qu’il «resterait dans les parages» et pourrait être «utile dans quelques cas».
Berkshire Hathaway vaut aujourd’hui plus de 1000 milliards $US.
Selon Forbes, la fortune de Buffett s’élève elle à 168 milliards $US.
Le milliardaire est l’un des hommes d’affaires les plus influents au monde.
Chaque année, de nombreux investisseurs assistaient à l’assemblée générale de Berkshire pour écouter ses conseils.
En avril, l’indice canadien S&P/TSX et l’indice américain S&P 500 ont enregistré des pertes de respectivement 0,1% et 0,7%. L’indice des actions internationales, lui, s’est distingué pour un quatrième mois consécutif avec un gain de 3,7%.
Le 9 avril, après l’abandon de tarifs douaniers américains supérieurs à 10% pour tous les pays sauf la Chine, le S&P 500 a rebondi de plus de 10%.
Au terme de la période de 12 mois terminée le 30 avril:
le S&P/TSX a gagné 17,8%;
le S&P 500 a gagné 12,1%; et
les actions internationales, représentées par l’indice MSCI ACWI ex USA, ont gagné 12,5%.
En avril, les secteurs du TSX les plus performants ont été la consommation de base, les services publics et les technologies de l’information en hausse de respectivement 6,6%, 2,6% et 2,4%.
Les secteurs les moins performants ont été l’énergie, la santé et l’industrie, qui ont subi des pertes fracassantes de respectivement 13%, 10,1% et 9,3%.
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Washington frappe fort: tarifs allant jusqu’à 245% sur les produits chinois
Les États-Unis ont annoncé le 2 avril qu’ils imposeraient des tarifs douaniers sur des importations provenant d’environ 60 pays.
La Chine a réagi avec des contretarifs sur des produits américains. Cela a lancé une nouvelle phase de tensions commerciales entre les deux pays.
Le 8 avril, Washington a limité les hausses tarifaires à 10% (au lieu de 50%), sauf pour la Chine.
Selon le New York Times, les tarifs visant la Chine varient désormais de 0% à 245%.
Le 12 avril, les ordinateurs, téléphones et puces électroniques ont été exemptés des tarifs américains.
Depuis quelques jours, la Chine ferait entrer discrètement au pays certains produits américains sans y appliquer de tarifs.
Inflation et chômage
Au Canada, l’inflation sur 12 mois a diminué: elle est passée de 2,6% en février à 2,3% en mars.
La baisse est principalement attribuée à la baisse des prix de l’essence et du transport.
Le taux de chômage a augmenté de 6,6% en février à 6,7% en mars.
Le nombre de personnes à la recherche d’un emploi a augmenté de 36 000.
Il sera primordial d’observer, au cours des prochains mois, l’évolution du marché de l’emploi pour évaluer l’impact potentiel des risques tarifaires.
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Taux d’intérêt
Le taux directeur de la Banque du Canada est resté inchangé à 2,75% le 16 avril.
Le taux directeur a été maintenu pour la première fois depuis mai 2024, alors qu’il était à 5%.
La Banque du Canada a signalé que l’incertitude et l’ampleur des tarifs américains augmentaient les chances d’une croissance plus faible et une inflation plus élevée.
La prochaine rencontre sur la politique monétaire sera le mercredi 4 juin.
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Plus de possibilités s’offrent à vous pour voyager à bas prix avec le programme aérien VIPorter. En effet, Porter Airlines et son programme de fidélité permettent maintenant aux membres VIPorter de s’envoler grâce à des points partout au Canada, aux États-Unis et même en Europe.
C’est le résultat de récents partenariats: Air Transat et Alaska Airlines font désormais partie du réseau étendu de Porter. Cela permet aux passagers de réserver avec ces compagnies aériennes des itinéraires qui sont payables en points ou en argent.
De plus, BMO facilite désormais l’accès aux destinations avec l’arrivée de nouvelles cartes de crédit VIPorter. Découvrons comment ces cartes peuvent vous aider à économiser sur vos voyages.
Des primes de bienvenue généreuses
BMO propose deux cartes co-marquées avec Porter Airlines assorties de primes de bienvenue généreuses:
Ces points sont particulièrement intéressants puisqu’ils peuvent être échangés directement contre des vols du réseau étendu de Porter Airlines. Mais les avantages ne s’arrêtent pas là.
2 points VIPorter par dollar d’achat auprès de Porter
1 point par dollar sur les dépenses d’essence, de restaurants, d’hôtels, de transport et d’épicerie
0,5 point par dollar sur les autres achats
un bon de réduction de 35% sur un vol
le statut VIPorter Passeport
Des destinations accessibles pour tous les budgets
De nombreuses destinations deviennent accessibles avec les points VIPorter. Voici quelques exemples de prix trouvés pour aller vers ces destinations dans les prochains mois:
Pour un voyage en Europe:
Aller-retour Toronto – Paris pour 50 000 points et 230 $
Vol Montréal – Lisbonne pour 34 500 points et 80 $
Aller-retour Montréal – Londres pour 50 000 points et 278 $
Aller-retour Montréal – Rome pour 50 000 points et 141 $
Pour un voyage au Canada et en Amérique du Nord:
Aller-retour Montréal – Vancouver pour 16 000 points et 163 $
Aller-retour Montréal – St.John’s pour 21 000 points et 185 $
Vol Montréal – Anchorage (Alaska) pour 29 500 points et 192 $
Nous avons trouvé d’autres possibilités pour 50 000 points VIPorter ou moins pour ces destinations: Bruxelles, Venise, Glasgow, Dublin, Lyon, Amsterdam, Victoria (Colombie-Britannique), et bien plus!
Une occasion à saisir
Avec l’expansion du réseau Porter et l’arrivée de ces nouvelles cartes de crédit, c’est le moment idéal pour accumuler des points VIPorter.
En combinant la prime de bienvenue généreuse aux multiplicateurs de points sur vos achats et aux autres avantages comme le statut Grand Voyageur, vous pouvez réaliser des économies considérables sur des vols en Amérique du Nord et jusqu’en Europe.
La Carte Mastercard BMO VIPorter et la Carte Mastercard BMO VIPorter World Elite constituent une excellente opportunité d’économiser sur vos voyages tout en profitant d’une expérience de vol bonifiée grâce aux avantages VIPorter, surtout si vous voyagez régulièrement à bord de Porter Airlines.
Les points VIPorter n’expirent pas tant que vous gardez votre carte active, ce qui donne toute la flexibilité nécessaire pour planifier de futurs voyages.
La Commission irlandaise de protection des données estime que TikTok n’a pas démontré que les données de ses utilisateurs sont protégées du gouvernement chinois.
L’organisme européen croit que les autorités chinoises pourraient consulter ces données, parce que plusieurs employés de TikTok et de sa maison-mère ByteDance qui travaillent depuis la Chine y ont accès.
Faire augmenter son salaire, ce n’est pas qu’une question d’ancienneté ou de chance. C’est souvent réussir à éviter certaines attitudes et croyances qui freinent votre progression salariale.
Voici les erreurs les plus fréquentes – et comment les corriger, afin de dynamiser votre carrière.
Erreur 1: ne pas demander d’augmentation
L’une des erreurs les plus communes est de ne pas demander à être augmenté, ou de ne pas le faire correctement.
Nombre de travailleurs attendent qu’on leur propose une hausse de salaire, croyant que leur travail parle de lui-même.
Mais ne jamais rien demander peut être perçu par l’employeur comme le signe qu’on est pleinement satisfait.
D’où l’intérêt de savoir présenter une demande à la fois pertinente et argumentée.
Pour faire une bonne demande:
Listez et présentez vos dernières réalisations les plus marquantes.
Informez-vous sur les salaires en vigueur dans votre secteur d’activité afin de faire une proposition réaliste.
Choisissez un moment opportun pour présenter votre demande – lors de votre entretien annuel d’évaluation, à l’issue d’une formation, ou après avoir atteint un objectif ambitieux.
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Erreur 2: croire que le seul mérite suffit
Faire du bon travail est bien entendu important, mais si personne ne le remarque, ça ne vous aidera pas sur le plan salarial.
L’idée n’est donc pas de vous vanter devant les autres à longueur de journée, mais plutôt de vous rendre visible. Vous pouvez, par exemple:
proposer des idées constructives dès que l’occasion se présente;
vous impliquer dans des projets importants; et
demander de la rétroaction à votre gestionnaire après avoir mené à bien une mission qu’il vous a confiée.
Tout cela devrait contribuer à vous faire reconnaitre à votre juste valeur.
Erreur 3: demeurer longtemps dans le même poste
De manière générale, la loyauté est une qualité.
Mais elle peut jouer en votre défaveur si votre employeur vous fait demeurer longtemps au même poste, sans reconnaitre votre plein potentiel.
C’est que le marché du travail est toujours en évolution, et le simple fait de faire du surplace finit par freiner votre progression salariale.
Une étude du cabinet-conseil en recrutement Robert Walters Canada menée en 2024 a en effet montré que les professionnels qui changent d’employeur connaissent la plupart du temps une hausse de salaire de l’ordre de 10 à 15%, voire de 20% pour certains postes très en demande.
Par conséquent, il est toujours bon:
de faire une veille régulière des offres d’emploi et de comparer votre salaire avec les standards de votre secteur d’activité; et
d’envisager une autre voie professionnelle, davantage en lien avec vos compétences propres, si vous sentez que vous ne pouvez pas évoluer dans votre entreprise.
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Erreur 4: se sous-estimer
Trop de personnes sous-estiment leur valeur, ou manquent de confiance en elles.
Or, croire que l’on n’est pas assez bon pour occuper un poste comportant davantage de responsabilités peut revenir à faire de l’autosabotage professionnel.
Dans un tel cas de figure, il peut être bénéfique de prendre le temps de répertorier vos compétences, et de voir si elles sont adaptées au poste que vous occupez actuellement.
Car il se peut fort bien que plusieurs de vos compétences soient sous-exploitées et conviendraient à un poste plus demandant, et donc mieux rémunéré.
Proposez-vous plus souvent pour prendre en main des dossiers exigeants, ou bien pour des missions susceptibles de vous amener à sortir de votre zone de confort.
Cela pourrait vous permettre de réaliser que vous êtes prêt à assumer de nouvelles responsabilités.
Bref, il peut suffire de modifier votre attitude, votre stratégie ou votre mise en valeur pour voir s’ouvrir de nouvelles portes professionnelles.
À la clé, la promesse d’une belle évolution salariale, à condition d’oser franchir l’une de ces portes.
Quand on part en vacances ou en weekend, ce n’est pas toujours pratique de demander aux voisins de surveiller la maison. Une autre solution consiste à installer une caméra de sécurité avec ou sans fil, et à utiliser votre cellulaire et internet pour garder un œil sur votre maison.
Les caméras de surveillance se déclinent en versions filaires ou sans fil (incluant les solaires), intérieures ou extérieures, avec options de vision nocturne et de détection de mouvement, et bien d’autres fonctionnalités. Après avoir testé 19 modèles, voici les 5 meilleures.
Plusieurs facteurs sont à considérer pour trouver le système de surveillance idéal:
la résolution HD pour la qualité d’image
la vision nocturne infrarouge
les options de stockage local ou infonuagique
la connectivité Wifi ou Ethernet pour le réseau
les fonctionnalités de détection de mouvement et d’alertes pour la sécurité
Nos tests ont porté sur les facteurs suivants, essentiels pour une utilisation optimale:
Performance globale: qualité de l’image en direct, de l’enregistrement vidéo et audio
Facilité d’utilisation: installation, mise en route, utilisation sur place et à distance
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Cette caméra de surveillance extérieure est l’un de nos coups de cœur pour l’extérieur si vous avez un budget limité.
En plus d’un très bon rapport qualité-prix, sa simplicité d’utilisation et ses fonctionnalités sont très efficaces pour la sécurité de votre habitation.
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On aime beaucoup cette Eufy S330, évidemment pour ses panneaux solaires intégrés aux caméras, super efficaces et conférant une excellente autonomie; mais aussi pour sa qualité générale, de la connectivité à la facilité de l’application.
Il vous faudra peut-être casser la tirelire et prendre le temps de jouer avec les réglages pour bien configurer les alertes et le détecteur de mouvement, mais cela en vaut vraiment la peine pour votre tranquillité d’esprit.
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«La bourse est un mécanisme de transfert d’argent des impatients vers les patients.» Cette phrase du légendaire investisseur Warren Buffett résume toute la sagesse derrière l’art d’investir.
Mais que signifie réellement investir à court, moyen ou long terme? Et combien de temps faut-il patienter avant de récolter les fruits d’un placement?
Ce texte a été rédigé par Fabien Major, MBA, CIM, Pl.fin, professionnel de la finance, auteur et chroniqueur.
Les racines du court, moyen et long terme
Ces notions remontent aux fondements mêmes de la gestion financière moderne.
Dès les années 1950, Harry Markowitz, père de la théorie du portefeuille, affirmait que le temps influençait directement le risque.
Plus un investisseur a une perspective de long terme, moins il a à se préoccuper des variations à court terme.
On distingue généralement:
court terme – moins de 3 ans
moyen terme – 3 à 7 ans
long terme – plus de 7 ans
Ces catégories ne sont pas que théoriques.
Elles servent de boussole pour arrimer nos objectifs de vie (achat d’une maison, retraite, éducation des enfants…) à la bonne stratégie de placement.
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Le court terme: terrain miné pour les émotions
Investir à court terme implique que l’on a peu de temps pour récupérer les pertes qu’on subirait.
Prenons l’indice S&P 500, un bon baromètre des marchés américains.
Selon Morningstar, depuis 1926:
La probabilité de rendement positif de cet indice sur un an est de 75%.
Mais la volatilité est élevée: l’indice a déjà chuté de plus de 30% en un an, comme cela a été le cas en 2008.
Ainsi, en 2020, selon le moment dans l’année où vous auriez investi 50 000 $ dans un fonds d’actions indiciel et le moment où vous l’auriez vendu, vous auriez-pu vous retrouver avec 70 000 $… ou avec seulement 40 000 $.
Conclusion?
Si vous avez besoin de liquidités d’ici un an ou deux, privilégiez les CPG, obligations à court terme ou comptes d’épargne à intérêt élevé.
Ce n’est pas le moment de jouer aux devinettes avec les marchés.
Le moyen terme: un équilibre entre rendement et stabilité
Pour les projets à 3 à 7 ans, l’horizon est assez long pour absorber des corrections, mais pas assez pour ignorer les risques. C’est là que les portefeuilles équilibrés brillent.
Prenons le portefeuille type 60/40 (60% actions, 40% obligations).
Selon Vanguard, ce type d’allocation a offert en moyenne depuis 1976 un rendement annuel 7%, avec une perte maximale de 27% pendant les pires années (2008).
Toutefois, sur des périodes de 5 ans ou plus, il a presque toujours généré des rendements positifs.
Exemple: un investisseur qui aurait placé 100 000 $ dans un portefeuille équilibré en 2013 aurait obtenu cinq ans plus tard un rendement global d’environ 40 000 $, malgré des baisses temporaires pendant la période.
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Le long terme: le bouclier contre les tempêtes
C’est dans les périodes de crise que le long terme devient une philosophie, et non une simple stratégie.
Lors de la récession de 2008, le S&P 500 a plongé de 38,5%.
Mais ceux qui ont conservé leurs placements dans un fonds indiciel jusqu’en 2018 ont vu leur portefeuille plus que doubler, avec un rendement annuel moyen de 11,6% sur 10 ans.
Même chose pour la pandémie.
Entre février et mars 2020, le marché a chuté de 34%.
Moins de 6 mois plus tard, il avait tout regagné.
Ceux qui ont paniqué et vendu ont cristallisé leurs pertes.
Ceux qui ont tenu bon ont été récompensés.
Selon JP Morgan, pendant la période allant de 2003 à 2022:
Un investisseur 100% en actions n’a jamais subi de perte sur une période de 15 ans.
Mais sur des périodes courtes, de 1 jour à 1 an, les pertes pouvaient atteindre 46%.
Autrement dit: plus l’horizon est long, plus la probabilité de gain devient presque certaine, surtout si vos placements sont bien diversifiés.
Comme le disait si bien le financier Benjamin Graham, «l’investisseur intelligent est un réaliste qui vend aux optimistes et achète aux pessimistes».
La coopérative de solidarité de Québec, spécialisée en intelligence artificielle, guide les entreprises et les organismes dans leur transformation numérique en leur proposant des services d’accompagnement, ateliers et formations.
Baseline se positionne en faveur d’un développement et d’une utilisation responsable de la technologie. Elle aide ses clients à accroître leur efficacité, mais aussi à améliorer leur impact social grâce à l’IA.
L’initiative
La mission principale de Baseline est de favoriser l’adoption et l’intégration de solutions d’intelligence artificielle dans les processus d’innovation des PME québécoises.
La coopérative de solidarité aide les entreprises à comprendre les outils d’intelligence artificielle «pour mieux les utiliser et se les approprier», explique à InfoBref David Beauchemin, directeur général de Baseline et expert IA.
Elle leur permet:
d’identifier des opportunités en IA;
de développer des solutions sur mesure pour optimiser leurs opérations;
d’intégrer ces solutions à l’environnement de l’entreprise.
L’équipe de Baseline
Baseline forme les équipes pour que les entreprises puissent «contrôler leur innovation».
Elle leur propose aussi un suivi des performances afin de «maintenir dans le temps les solutions développées pour l’entreprise», précise David Beauchemin.
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Les porteurs
Fondée en 2020 par plusieurs étudiants en maitrise de l’Université Laval, toujours actifs dans la coopérative, Baseline compte aujourd’hui 15 membres.
Ses fondateurs avaient à cœur d’aider les PME québécoises, et ne souhaitaient pas que les grandes entreprises soient les seules à bénéficier de l’IA.
Ils ont choisi un modèle d’affaires coopératif pour «ne pas être une entreprise comme une autre».
«Le domaine de l’informatique a la réputation de consommer les gens comme des ressources», note David Beauchemin. Baseline souhaite plutôt offrir «un environnement de travail qui n’est pas dans le crunch permanent», valoriser ses membres et leur permettre de s’épanouir.
Message du commanditaire La coopérative financière des entreprises collectives partout au Québec Joignez le mouvement!
L’impact
La coopérative de solidarité applique des pratiques responsables et éthiques dans le développement et le déploiement de l’intelligence artificielle.
Elle respecte la Déclaration de Montréal pour une IA responsable.
Baseline influence ses clients, sur le long terme, pour les amener à choisir une technologie plus responsable.
Elle leur propose des solutions qui visent à leur offrir «un bon positionnement», et pas seulement à augmenter leur rentabilité.
Par ailleurs, la coopérative s’engage à contribuer au développement durable.
Elle s’est impliquée dans le projet Revolv’Air, pour lequel des capteurs ont été installés dans l’arrondissement Limoilou, à Québec, afin de surveiller la qualité de l’air et la pollution.
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Selon des directives publiées hier par le service des douanes américain, les pièces fabriquées au Canada et conformes à l’Accord commercial Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) ne seront pas visées par les taxes imposées au secteur automobile par le gouvernement américain.
Ces pièces devaient initialement être taxées à 25% à compter du 3 mai.
Donald Trump avait déjà exempté les pièces automobiles conformes à l’ACEUM et fabriquées aux États-Unis.
C’est ce qu’a réaffirmé l’Autorité internationale des fonds marins.
L’organisme international, fondé en 1994 sous l’égide de l’ONU, a réagi à la volonté du gouvernement Trump d’exploiter les fonds marins des eaux internationales.
L’autorité a souligné qu’aucun pays n’a le droit d’exploiter des ressources naturelles en haute mer en dehors du cadre juridique établi par la Convention des Nations unies sur le droit de la mer.
Cette interdiction est contraignante pour tous les pays, y compris les États qui, comme les États-Unis, n’ont pas ratifié la convention.
À compter de la rentrée, l’usage d’un cellulaire, d’écouteurs et de tout appareil mobile personnel sera interdit sur l’ensemble des terrains des écoles publiques et privées, du début à la fin des cours, y compris pendant les pauses et le dîner.
Des exceptions seront possibles pour des raisons pédagogiques ou de santé, ou des besoins particuliers.
Pour justifier cette décision, le ministre de l’éducation Bernard Drainville a indiqué que «les écrans sont trop souvent l’élément déclencheur de situations d’intimidation dans les écoles».