Le conflit qui s’envenime au Proche-Orient incite certains à appeler au boycottage de produits israéliens ou de toute société ayant des intérêts importants au pays de Netanyahou.
Or, l’efficacité réelle des boycotts est souvent remise en question. Si certains ont réussi à produire des effets mesurables, d’autres ont eu un impact presque nul sur la consommation de masse.
Ce texte a été rédigé par Fabien Major, MBA, CIM, Pl.fin, professionnel de la finance, auteur et chroniqueur.
Les boycottages ont longtemps été utilisés comme un moyen pour les consommateurs d’exprimer leur désaccord envers les pratiques d’une entreprise ou d’un État.
En refusant d’acheter certains produits ou services, les participants espèrent infliger une pression économique suffisante pour engendrer des changements.
Des boycottages qui réussissent
Un exemple notable de boycottage réussi est celui du mouvement antiapartheid en Afrique du Sud.
Dans les années 1980, une campagne internationale a appelé au boycottage des produits sud-africains pour protester contre le régime de ségrégation raciale.
Ce mouvement a contribué à isoler le pays sur le plan économique
Il a exercé une pression sur le gouvernement sud-africain qui a finalement conduit à la fin de l’apartheid en 1994.
Un autre exemple est le boycottage des bus de Montgomery en 1955-1956 aux États-Unis.
Initié après l’arrestation de Rosa Parks, ce boycottage a vu la communauté afro-américaine refuser d’utiliser les bus municipaux pour protester contre la ségrégation raciale.
Durant plus d’un an, le mouvement a infligé des pertes financières importantes aux sociétés de transport en bus.
Cela a abouti à une décision de la Cour suprême déclarant illégale la ségrégation dans les transports publics.
Cependant, tous les boycottages n’ont pas cette efficacité.
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Des boycottages qui échouent, ou à faible impact
Le boycottage de Nestlé, dans les années 1970 et 1980, visait à dénoncer la promotion agressive du lait maternisé dans les pays en développement, ce qui aurait conduit à des problèmes de santé chez les nourrissons.
Malgré une mauvaise publicité pour l’entreprise, Nestlé a continué à prospérer.
Bien que le boycottage ait conduit à des discussions sur l’éthique des pratiques commerciales et à l’adoption du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel par l’OMS, l’impact financier a été limité.
De même, les appels au boycottage d’Amazon en raison de ses pratiques de travail controversées et de son impact sur les petites entreprises locales n’ont pas réussi à freiner la croissance de la société.
Malgré une sensibilisation accrue aux conditions de travail dans les entrepôts et aux pratiques fiscales de l’entreprise, Amazon continue d’enregistrer des profits records.
La commodité offerte par la plateforme et le manque d’alternatives comparables rendent difficile une mobilisation massive des consommateurs.
Les tentatives de boycotter les compagnies pétrolières pour protester contre leur rôle de leur industrie dans les changements climatiques illustrent également les limites de cet outil.
La dépendance mondiale au pétrole rend impraticable un boycottage efficace.
Les compagnies pétrolières continuent de réaliser des bénéfices substantiels, et les changements dans les habitudes de consommation d’énergie restent lents malgré l’urgence environnementale.
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Pourquoi certains boycottages fonctionnent mieux que d’autres
Plusieurs facteurs expliquent pourquoi certains boycottages échouent à produire un effet significatif. En voici trois:
1. La mobilisation des consommateurs est souvent insuffisante
Sans une participation massive et soutenue, l’impact financier sur l’entreprise ciblée reste négligeable.
2. Les habitudes de consommation sont difficiles à changer
Les consommateurs peuvent être réticents à renoncer à des produits ou services qui leur offrent commodité ou satisfaction, même s’ils sont conscients des problèmes éthiques associés.
3. Le manque d’alternatives viables peut limiter l’efficacité d’un boycottage
Dans une économie mondialisée, les entreprises peuvent diversifier leurs marchés et réduire l’impact d’un boycottage localisé. Les multinationales ont les ressources pour absorber les pertes temporaires ou pour réorienter leurs efforts vers des marchés moins hostiles.
Les succès notables sont généralement le résultat d’une conjonction de facteurs, y compris une mobilisation massive, une couverture médiatique importante et des pressions politiques synchronisées.
Sans ces éléments, les tentatives de limiter la consommation de masse par le boycottage risquent de rester symboliques.
Parler de son salaire semble être de moins en moins un tabou.
Pourtant, ce type de discussion, même s’il peut présenter de nombreux avantages, notamment sur le plan financier, n’est pas sans danger.
Vers plus de transparence en matière de rémunération
Les employés en parlent davantage
Selon un sondage Léger de 2022, la moitié des Québécois étaient à l’aise de parler de leur salaire en famille.
La proportion tombait cependant à 38% pour les conversations entre amis, et 32% pour les conversations entre collègues.
Des données plus récentes pointent vers plus de transparence, du moins en France.
Selon un récent sondage du site d’emplois Hellowork, 54% des employés se disent disposés à discuter de rémunération avec ses collègues.
En 2019, ils n’étaient que 17%.
Les employeurs donnent plus d’information
De plus en plus d’offres d’emploi affichent la rémunération offerte, ou au moins une fourchette dans laquelle elle se situe.
Sur le site d’emplois Indeed, la part des offres dans lesquelles figure de l’information chiffrée sur la rémunération a doublé en France entre 2019 et 2023.
À présent, une offre d’emploi sur deux comporte cette information.
De manière générale, les plateformes numériques de type Glassdoor et l’abondance des informations en ligne sur le sujet permettent aisément aux gens d’avoir une idée du salaire que touchent les travailleurs dans un secteur d’activité.
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Les nombreux avantages d’une transparence accrue
Réduire les écarts de salaires
Dès lors que les salariés ont l’information sur les salaires généralement pratiqués, la haute direction et les responsables RH sont incités à diminuer les inégalités salariales.
Cela peut se révéler positif notamment pour les femmes et les minorités présentes au sein de l’organisation, souvent moins bien payées que les autres.
Accélérer le recrutement
La transparence amène les employeurs à optimiser le processus de recrutement.
Le simple fait d’afficher le salaire offert pour des postes ouverts peut attirer de nouveaux talents prometteurs, puis augmenter la productivité de l’équipe dans laquelle ils vont atterrir.
90% des Québécois trouvent qu’il est important de voir la rémunération dans l’offre d’emploi, selon le sondage Léger de 2022.
La proportion monte à 96% chez ceux qui gagnent plus de 100 000 $ par an.
Contribuer à la motivation des employés
La transparence salariale peut renforcer la confiance des employés envers leur organisation, et par la suite, leur engagement dans leur travail et leur productivité.
Une étude menée par l’Université de Tel-Aviv, en Israël, a montré que moins il y a de secret sur les salaires, plus la performance des employés augmente.
Et qui dit meilleure performance peut souvent dire meilleure rémunération (prime au rendement, augmentation salariale, promotion).
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Les dangers de la transparence
Voulez-vous vraiment savoir?
Découvrir que les autres sont mieux rémunérés que soi peut faire mal.
Presque trois quarts des employés français disent que s’ils découvraient qu’ils étaient moins bien payés que leurs collègues, ils se mettraient illico à la recherche d’un autre employeur, selon un sondage d’ADP, une firme spécialisée dans les services RH.
Or, une étude relayée par la Harvard Business Review a mis au jour le fait que, la plupart du temps, ceux qui s’en vont en raison des inégalités salariales sont en général… les employés les plus talentueux.
Cette étude portait sur quelque 4 millions d’employés en Europe, aux États-Unis et au Canada, entre 2018 et 2023.
Elle soulignait que ce qui dégoutait le plus les démissionnaires, c’était l’arrivée d’une nouvelle recrue mieux rémunérée qu’eux malgré leurs longues années de labeur et de fidélité envers leur employeur.
Enfin, l’un des dangers les plus insoupçonnés concernant la transparence salariale réside dans le fait que, lorsqu’ils parlent de leur rémunération, nombre de gens préfèrent mentir: ils donnent un montant plus ou moins élevé que la réalité, ou donnent des chiffres très arrondis.
Ce n’est donc pas parce qu’on demande à ses collègues ou à ses proches combien ils gagnent que l’on obtient toujours l’heure juste.
[crédit photo: Shutterstock, licence via Unpointcinq]
Latte avoine, cappuccino, americano… En se levant, en marchant, au travail, entre amis… Le café fait partie de notre quotidien.
Si l’on veut éviter les tasses jetables, quelle est la meilleure option, d‘un point de vue environnemental et économique?
Combien de gobelets de café jette-t-on à la poubelle chaque année?
Une journaliste du média Unpointcinq a fait l’exercice de calculer pendant un an le nombre de cafés qu’elle a bus à l’extérieur de chez elle et dans quel type de récipient.
Résultat des courses? 196 cafés bus, dont:
118 dans une tasse réutilisable, et
59 dans une tasse en céramique,
soit au total 177 gobelets jetables qui n’ont pas fini à l’enfouissement ou au recyclage!
Êtes-vous prêt à faire l’exercice?
Ce n’est pas qu’une question d’environnement.
Vous avez peut-être vu passer l’information cette semaine : le prix du café pourrait atteindre des sommets dans les prochains mois.
Pour les gros buveurs de petits noirs, c’est une mauvaise nouvelle.
Il y a tout de même moyen de faire quelques économies tout en protégeant l’environnement.
Comment? En utilisant une tasse réutilisable, aussi appelée tasse de voyage.
Tasse en céramique, ou tasse de voyage
Une étude du CIRAIG et de RECYC-Québec – réalisée en 2014 mais dont les grandes conclusions sont toujours d’actualité – indique que la tasse en céramique représente la meilleure option d’un point de vue environnemental.
La tasse de voyage se classe, elle, en 2e position.
Il suffit d’utiliser de 100 à 200 fois une tasse de voyage pour qu’elle soit une meilleure solution que les récipients à usage unique.
Une tasse réutilisable coûte environ entre 10 $ et 40 $ environ, selon les modèles et le matériau (plastique polycarbonate ou polypropylène, acier inoxydable, bambou, verre). Vous l’amortirez rapidement!
Si vous décidez de faire le pas, optez pour des matériaux:
solides, comme le métal;
durables, comme le verre; ou
recyclables, comme le plastique de polypropylène.
Privilégiez aussi une fabrication locale quand cela est possible, au Canada ou aux États-Unis plutôt qu’en Asie ou en Europe.
Finalement, surveillez les commerces offrant un rabais aux clients qui apportent leur propre tasse: vous économiserez quelques cents supplémentaires!
[Cette brève est tirée du site Unpointcinq. Lisez ici l’article complet.]
François Rochon et Catherine Dumas, fondateurs de Nolu
Personne ne devrait être laissé sans amour (No One Left Unloved), c’est la philosophie qui se cache derrière le nom de l’entreprise montréalaise.
Nolu a créé une application de rencontres destinée aux personnes en situation de handicap. Elle leur propose également des consultations virtuelles avec des experts, et elle forme des professionnels qui travaillent auprès d’elles.
L’initiative
La mission principale de Nolu est de promouvoir l’inclusion émotionnelle des personnes en situation de handicap.
«Nous sommes les spécialistes pour mettre en place les conditions pour que leurs besoins émotionnels, intimes et sexuels soient reconnus», explique à InfoBref Catherine Dumas, présidente et cofondatrice de Nolu.
L’entreprise offre «un écosystème de produits et services qui travaillent en synergie pour leur bien-être».
L’application fonctionne un peu comme les autres applications de rencontres, à la différence que les personnes peuvent y présenter «sans crainte» leur handicap, et chercher des célibataires en fonction du leur.
L’un des avantages, note Catherine Dumas, c’est que «l’éléphant n’est plus dans la pièce: 90% des personnes en situation de handicap craignent le moment de leur dévoilement.»
L’application est disponible en français et en anglais.
Son prix de 9,99 $ par mois inclut toutes les options et le premier mois est gratuit.
Nolu est une «communauté sécuritaire et inclusive» qui permet à ses abonnés «d’améliorer leurs compétences sociales», dit l’entrepreneure.
Cette communauté offre aux personnes en situation de handicap «un encadrement à même l’application pour les accompagner dans leur cheminement».
L’entreprise intervient également auprès des professionnels qui travaillent auprès d’elles.
L’Institut Nolu leur propose des cours sur mesure pour qu’ils soient en mesure de bien comprendre et répondre à cette communauté.
Ces formations comblent un besoin parce que, dans leur formation standard de 3 ans, les sexologues n’ont «aucune heure de cours consacrée aux problèmes qui touchent les personnes en situation de handicap», note Catherine Dumas.
Les formations Nolu sont reconnues par l’Ordre professionnel des sexologues du Québec.
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Les porteurs
Nolu est le rêve de son cofondateur François Rochon, qui est décédé en mars des suites de la sclérose en plaques.
«Il voulait créer un endroit de rencontre pour les personnes en situation de handicap, raconte Catherine Dumas. J’en ai fait une vision d’affaire beaucoup plus grande: un écosystème performant qui assure une transformation sociale».
Nolu a été créée «pour, par et avec les personnes en situation de handicap».
«C’est extrêmement important qu’ils participent à l’élaboration des projets», dit l’entrepreneure.
Nolu est accompagnée par Esplanade Québec, accélérateur des entrepreneurs d’impact social et environnemental du Québec, dans le cadre du programme Perspectives Entrepreneures.
L’impact
Près de 10 000 personnes ont déjà utilisé Nolu pour faire des rencontres.
Depuis 2022, l’Institut Nolu a déjà:
offert une formation certifiée à une trentaine de sexologues; et
formé et sensibilisé des centaines de personnes.
Dans les prochaines années, l’institut devrait former «des dizaines de milliers de professionnels» en étendant sa certification aux intervenants des milieux d’hébergement.
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François Legault et Michel Barnier (source: compte X du premier ministre / Émilie Nadeau)
À la veille de l’ouverture aujourd’hui du Sommet de la Francophonie, François Legault et Michel Barnier ont discuté de la place du français sur les plateformes numériques, mais aussi d’immigration.
Legault demande au gouvernement fédéral de créer, comme l’a fait la France, des zones d’attente pour les demandeurs d’asile.
Il souhaite que la moitié des 160 000 demandeurs d’asile actuellement présents au Québec soient forcés de déménager dans une autre province.
Michel Barnier a été nommé le mois dernier [détails (5 sept.)].
Legault est le premier chef de gouvernement étranger qu’il a reçu.
Selon un sondage Léger réalisé pour la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), un parent d’élève sur trois ne considère plus que l’école publique est gratuite.
Une vice-présidente de la FAE a dit La Presse que c’était une conséquence du système scolaire dit «à 3 vitesses»:
écoles privées;
projets pédagogiques particuliers des écoles publiques; et
classes ordinaires du réseau public.
Les projets pédagogiques particuliers, comme sport-études, peuvent avoir un cout pour les parents.
Or, le gouvernement Legault souhaite qu’à la rentrée 2026 trois quarts des élèves du réseau public soient inscrits dans l’un de ces programmes.
Le ministre de la justice Simon Jolin-Barrette a déposé un projet de loi qui vise à créer un nouveau recours pour protéger les victimes.
Grâce à cette future loi, les victimes pourraient obtenir en urgence une ordonnance d’un tribunal pour faire cesser rapidement le partage d’une photo ou d’un enregistrement sonore ou vidéo intime diffusé sans leur consentement.
Des amendes de 500 $ à 50 000 $ par jour sont prévues contre les personnes ou entreprises qui ne respecteraient pas une ordonnance exigeant le retrait d’images intimes.
Le député péquiste Pascal Bérubé (source: Parti québécois)
Les péquistes déplorent que le Centre d’acquisitions gouvernementales, créé en 2020 par le gouvernement Legault, se tourne principalement vers de grands fournisseurs situés à Montréal et hors du Québec, au détriment des entreprises québécoises en région.
L’an dernier, la totalité des achats des ministères et organismes gouvernementaux de la Côte-Nord et du Nord-du-Québec ont été effectués à l’extérieur de ces régions.
La proportion frôle les 100% en Gaspésie, dans le Bas-Saint-Laurent et au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Montréal se distingue: moins de la moitié des achats gouvernementaux y sont effectués hors de la région.
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La Banque Nationale a confirmé hier qu’en raison d’un «enjeu technique», certaines transactions comme des dépôts de salaires n’ont pas pu être traitées dans les délais habituels.
Le problème a concerné les employés de plusieurs centaines d’entreprises et a retardé les envois des paies qui étaient programmés.
La Banque Nationale a indiqué que les dépôts de paies retardés devaient être traités avant la fin de la journée d’hier.
L’outil «Lens» (lentille), situé dans la barre de recherche Google sur téléphone, permettait jusqu’ici d’effectuer des recherches à partir de photographies.
Il pourra désormais servir à poser verbalement des questions sur une scène ou un objet que l’on est en train d’enregistrer en vidéo.
Cette nouvelle fonctionnalité est progressivement déployée sur les téléphones Android et iPhone.
L’utilité de cette fonctionnalité, selon Google, est qu’elle permet aux usagers d’expliquer plus facilement certains critères de recherche.
Elle pourrait servir par exemple à:
résoudre plus facilement des problèmes techniques; ou
Les activités ont repris hier dans les deux terminaux du port de Montréal où elles étaient entravées depuis lundi par une grève de 3 jours des débardeurs.
Le débrayage a réduit de 40% la capacité totale de manutention de conteneurs, selon l’Administration portuaire de Montréal.
Pour rattraper le retard, l’Administration estime qu’il faudra jusqu’à 18 jours.
Le conflit n’est pas réglé: la médiation reprend aujourd’hui entre l’Association des employeurs maritimes et le syndicat des débardeurs du port de Montréal.
Il s’est vendu en septembre au Québec 20% plus de propriétés résidentielles que l’an dernier, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
Dans plusieurs régions, le nombre de transactions a été supérieur à la moyenne enregistrée pour septembre depuis que les données ont commencé à être compilées par la base de données Centris en 2000.
Pour cuisiner rapidement des plats sains et savoureux, l’autocuiseur électrique est l’allié parfait. Cependant, avec la panoplie de modèles sur le marché, faire son choix peut s’avérer complexe.
Après avoir testé ces dernières années 22 autocuiseurs électriques, voici deux modèles que nous recommandons: le Cosori CO601 et le Starfrit 8L.
Simplifiez-vous la cuisine: que ce soit pour mijoter, sauter ou stériliser, cet appareil vous accompagne avec brio.
Ce multicuiseur est une merveille technologique pour les gourmands pressés. Rapide, sécuritaire et facile à utiliser, il transforme la cuisine quotidienne.
Son seul défaut? Il prend de la place et demande un bon nettoyage.
Mais pour le reste, c’est un vrai coup de cœur. Un indispensable pour des repas réussis sans stress.
Le Cosori CO601, c’est un peu comme avoir un chef à domicile.
Dès le premier coup d’œil, son design en acier inoxydable m’a séduit. C’est robuste, ça respire la qualité.
Avec ses 13 programmes de cuisson, je savais que j’allais m’amuser. Sauté, mijoté, cuisson sous vide, tout y est.
Un soir, je décide de tester le mode riz. 6 minutes chrono et me voilà avec un riz parfait, bien cuit, sans effort. J’ai même fait un curry de légumes avec des ognons et du garam masala. Un vrai régal !
L’appareil est intuitif.
L’écran numérique est clair, et les commandes sont simples.
J’apprécie particulièrement la fonction antispin. Quand je fais sauter des légumes, le pot intérieur reste en place. Plus besoin de le tenir d’une main tout en remuant de l’autre.
Côté sécurité, rien à redire. Le système de libération de la vapeur est efficace et sécurisé. Adieu la peur des brulures.
Parlons de la capacité. Avec ses 6 litres, il est parfait pour une famille.
Les dimensions sont raisonnables : 13,4 x 12,6 x 12,5 pouces pour 11,9 livres.
Oui, c’est un peu encombrant, mais il vaut le coup. Surtout quand il évite de surchauffer la cuisine en été.
J’ai même cuit des haricots secs en un temps record. Plus besoin de les tremper toute la nuit et de les faire bouillir pendant des heures.
Le nettoyage est un jeu d’enfant. Le pot intérieur en céramique antiadhésive passe au lave-vaisselle. Idem pour le couvercle.
J’ai aussi testé la fonction de cuisson lente pour un pot-au-feu. Après 8 heures de cuisson lente, la viande était tendre à souhait.
Et le mieux, c’est que l’appareil passe automatiquement en mode maintien au chaud. Pas besoin de surveiller constamment.
Le seul bémol, c’est l’odeur persistante du dernier repas dans le couvercle. Un bon lavage s’impose après chaque utilisation.
Besoin d’un coup de pouce pour des repas familiaux rapides et sans stress?
Avec ses 8 litres de capacité, le Starfrit Electric Pressure Cooker est là pour ça.
Imaginez: un souper complet en un clin d’œil, sans passer la soirée dans la cuisine. 11 fonctions préréglées et la tranquillité d’esprit d’une cuisson sécurisée.
Un multicuiseur 8 litres dans ma cuisine, c’était un peu un défi. Est-ce que j’allais vraiment l’utiliser? La réponse: oui, et souvent.
Première utilisation, je décide de préparer un ragout de côtes levées. Je suis sceptique, mais après seulement 35 minutes, la viande est si tendre qu’elle se détache à la fourchette. Un vrai bonheur pour un plat qui aurait pris des heures à cuire normalement.
Le Starfrit Electric Pressure Cooker est une bête de polyvalence. Il gère tout, du riz aux soupes, des viandes aux légumes.
11 fonctions préréglées qui vous facilitent la vie. J’ai aussi tenté de faire du yaourt, une première pour moi. C’était un succès total, et je n’aurais jamais pensé pouvoir dire ça d’un autocuiseur électrique.
Ce qui m’a marqué, c’est à quel point il est rapide et silencieux. Pas de bouillonnement bruyant, juste un sifflement léger pour indiquer que c’est en marche.
Un bémol: j’ai eu quelques soucis avec la buse arrière après plusieurs utilisations. Le jet s’est légèrement déformé, rien de dramatique, mais ça mérite d’être souligné.
Côté nettoyage, la cuve antiadhésive est un jeu d’enfant. Même après un gâteau un peu collant, tout est parti facilement.
En un mot? Pratique. Si vous êtes comme moi et que vous aimez les gadgets qui vous simplifient la vie, c’est clairement un excellent choix.
Consultez notre article qui vous donne plein de trucs et astuces pour offrir des cadeaux et des activités attentionnés à vos employés! Psssst. Le blog de Folks regorge d’idées d’activités de teambuilding pour mobiliser les membres de votre équipe. Rien de mieux pour prévoir la saison des fêtes dans votre entreprise!