Pour griller toute l’année sans tracas, rien de tel qu’un barbecue électrique. Des petits grils d’intérieur aux imposants BBQ d’extérieur, les options sont variées.
J’ai testé une vingtaine de modèles de BBQ électriques. Voici les 4 meilleurs, que vous souhaitez griller en toute saison pour seulement quelques pesonnes ou recevoir une grande tablée sur votre terrasse.
Nous avons testé ces dernières années 29 barbecues électriques. Nos tests ont porté sur les facteurs suivants:
Le Hamilton Beach 25361 est un grill électrique ingénieusement conçu, qui vous permet de surveiller la cuisson de vos aliments sans devoir ouvrir le couvercle.
Il est polyvalent, et vous pourrez l’utiliser pour préparer des hamburgers, viandes, légumes et poissons.
Il se montre aussi facile à nettoyer.
Seul petit souci: le cordon s’avère assez court.
Achetez si…
Vous souhaitez surveiller facilement vos aliments pendant la cuisson, grâce à une fenêtre d’observation pratique dans le couvercle.
La portabilité et le rangement facile sont des critères importants pour vos appareils de cuisine.
Vous préférez un grand bac de récupération des jus qui ne nécessite pas d’être vidé fréquemment pendant la cuisson.
Avoir des pièces amovibles et lavables au lave-vaisselle, comme la plaque de gril et le bac de récupération, est une priorité pour un nettoyage facile.
N’achetez pas si…
Vous avez besoin de cuisiner pour des groupes plus importants ou nécessitez une surface de cuisson plus spacieuse.
La portabilité et le rangement compact ne sont pas des préoccupations majeures pour votre configuration de cuisine.
Lors de mes tests, j’ai vraiment été surpris par ce barbecue électrique d’intérieur.
Compact et léger, il offre une surface de cuisson d’environ 760 cm², parfaite pour préparer jusqu’à 6 portions.
Malgré sa petite taille, il permet de cuire une grande variété d’aliments grâce à sa plage de température ajustable de 90 à 205 °C.
J’ai pu ainsi faire cuire viandes, poissons, légumes sans problèmes.
Deux points qui le distinguent des autres: le voyant de préchauffage et le couvercle vitré qui permettent de contrôler la cuisson sans ouvrir l’appareil, surtout lorsqu’on doit surveiller les enfants en même temps.
Le nettoyage est simple avec la grille antiadhésive.
Le grand ramasse-gouttes et le couvercle, tous amovibles et compatibles lave-vaisselle.
Bien que le couvercle ne soit pas d’une qualité exceptionnelle et que la surface de cuisson soit limitée pour une famille nombreuse, ce grill produit peu de fumée et s’intègre facilement dans une cuisine.
Seul bémol, le cordon est court, il faudra donc placer le grill près d’une prise ou utiliser une rallonge.
Malgré cela, je pense que ce grill est un excellent choix pour ceux qui cherchent un appareil compact, polyvalent et facile à utiliser.
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Le Ninja Woodfire 7-en-1 est un appareil exceptionnel qui révolutionne la cuisine en plein air.
Malgré quelques petits bémols comme le préchauffage parfois long et l’affichage uniquement en Fahrenheit, ses performances, sa polyvalence et la qualité des plats préparés en font un achat que je ne regrette absolument pas.
Achetez si…
Vous appréciez la polyvalence culinaire, les appareils tout-en-un.
Vous cherchez une expérience authentique de fumage avec l’électrique.
J’ai été vraiment bluffé par le Ninja Woodfire 7-en-1 Grill Extérieur dès que je l’ai déballé.
Ce barbecue est une vraie bête, solide et bien fini. Ça respire la qualité.
Que je l’utilise sur ma terrasse en semaine ou que je l’amène en camping (avec une batterie portative en complément), sa taille compacte ne l’empêche pas de sortir des plats fumés à tomber ou des grillades parfaites.
Ce que j’adore, c’est sa polyvalence. On passe très facilement du mode grill au fumage ou à la friteuse à air. Ça donne envie de tester plein de recettes différentes.
Mais ce que je préfère, et c’est ce qui le différencie des autres, c’est sa technologie Woodfire.
Avec juste quelques pellets de bois, ça donne un goût incroyable à tout ce qu’on cuit.
Les steaks ont des marques de grill, un vrai régal pour les yeux.
Et les ailes de poulet fumées sont un régal.
Si comme moi, vous aviez l’habitude des barbecues à gaz ou charbon, les pellets dans cet appareil vont vous changer la vie.
Niveau entretien, ce n’est que du bonheur. Les pièces vont au lave-vaisselle, un coup de brosse avec de l’eau savonneuse sur le couvercle et c’est réglé, même après un bon fumage.
Après, rien n’est parfait. Je trouve le préchauffage assez long, et au final pas beaucoup plus court qu’un barbecue au gaz.
L’écran est en anglais avec les degrés en Fahrenheit, ce qui n’est pas toujours pratique si vous êtes habitué au Celsius.
Par contre Ninja a pensé à donner un autocollant en français pour traduire les différentes fonctions de la molette, c’est très apprécié!
Mais franchement, à part ces petits détails, le Ninja Woodfire est le meilleur barbecue électrique extérieur du moment.
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Le Starfrit The Rock sans fumée n’est pas le grill électrique le plus rapide du marché. Néanmoins, il se montre généralement peu coûteux, et plein de bonnes idées, avec sa surface antiadhésive réellement efficace et sa gestion intelligente de la fumée.
Pour des repas savoureux et sans stress à deux ou trois, c’est un excellent choix.
Ce modèle n’est pas 100% sans fumée, mais il en produit beaucoup moins que la plupart de ses concurrents grâce à un système intelligent.
Avant de placer la plaque sur le ramasse-gouttes, vous ajoutez de l’eau à ce dernier.
Par ailleurs, comme la grille en fonte d’aluminium est percée, le jus de cuisson tombe rapidement dans le liquide, et refroidit donc bien plus vite.
C’est simple et efficace, mais Starfrit a été plus loin : vous disposez d’une ouverture qui permet d’ajouter un peu d’eau même en cours de cuisson si le besoin s’en fait sentir.
La manipulation est, bien sûr, à effectuer avec prudence.
Outre le contrôle de la fumée, il y a un autre élément intéressant sur ce produit : la surface antiadhésive The Rock, particulièrement efficace.
Les résidus de nourriture se retirent en un instant, et le nettoyage reste donc une simple formalité.
L’appareil est confortable à posséder et à utiliser. Vous pouvez régler la température pour y saisir un steak, ou y cuire des brochettes et des légumes.
La grille, au total, offre une surface de 1032 cm², soit 160 po², mais elle est organisée de façon particulière: à droite comme à gauche, des espaces sont prévus pour les légumes. Ce qui a un côté pratique mais limite, par exemple, la quantité de steaks que l’on peut préparer simultanément.
Il vous faudra un peu plus de temps que sur d’autres modèles pour préparer de bons petits plats, mais vous bénéficiez tout de même d’une cuisson homogène et d’une puissance conforme aux standards du marché, de 1200 watts.
C’est le modèle que nous conseillons pour un usage plaisir ponctuel, en petit comité.
Le Weber Q2400 est un barbecue électrique luxueux, qui coûte assez cher.
Néanmoins, si vous disposez du budget adéquat, il y a peu d’hésitation à avoir, car il s’agit d’un investissement de très long terme. Il est en effet super solide, facile à nettoyer, et bien sécurisé.
De plus, le goût des aliments se rapproche vraiment du barbecue traditionnel.
Premier constat: avec ses 1560 watts, le Weber Q2400 délivre nettement plus de puissance que la majorité de ses concurrents électriques.
Cela est toutefois normal, car la surface de cuisson à couvrir est plus grande: vous bénéficiez ici de 1806 cm², ce qui correspond à 280 po².
Vous serez en mesure de préparer un bon repas pour toute la famille, ou de recevoir quelques amis.
Mais, plus que l’espace disponible, c’est surtout la qualité de conception qui impressionne sur ce produit. La cuve et le couvercle sont extrêmement résistants, fabriqués en fonte d’aluminium.
Les pièces sont garanties 2 à 5 ans. La patte Weber est au rendez-vous.
La grille, quant à elle, est en fonte émaillée.
Ce matériau, aussi utilisé sur les modèles au gaz ou au charbon, a pour principal intérêt de très bien capter la chaleur.
Ainsi, vos croquettes, brochettes ou steaks cuisent de façon homogène. Ils se montrent beaucoup plus agréables en bouche.
Les dimensions et le poids maîtrisés du Weber Q2400 le rendent facile à déplacer, d’autant plus si vous vous procurez le chariot vendu séparément. Il est parfaitement à sa place sur le balcon d’un appartement.
Pour l’entretien, il se fait assez rapidement. Vous pouvez vous débarrasser en quelques instants des résidus de cuisson grâce à une lèchefrite amovible.
Enfin, la sécurité est assurée par un câble avec mise à la terre: installé adéquatement, celui-ci évite le danger d’électrisation.
La productivité se mesure souvent par la quantité de biens et de services produits par heure travaillée. Sur ce plan, le Canada a du retard par rapport à certains de ses homologues du G20, dont les États-Unis, l’Allemagne et le Japon.
C’est un problème à plusieurs égards. L’un d’eux, souvent oublié, est que ce retard alimente l’inflation.
Ce texte a été rédigé par Fabien Major, MBA, CIM, Pl.fin, professionnel de la finance, auteur et chroniqueur.
Le retard de productivité du Canada s’explique en partie:
par une dépendance aux secteurs à faible valeur ajoutée comme les ressources naturelles et l’énergie; et
par un investissement insuffisant dans la recherche et développement (R et D) et les technologies de pointe.
Le rôle crucial des technologies
Dans l’indice S&P/TSX de la Bourse de Toronto, le secteur des technologies ne représente que 8%, comparativement à 29% dans l’indice de la bourse américaine S&P 500.
Aux États-Unis, les géants comme Google, Meta, Nvidia et Microsoft investissent massivement en R et D, ce qui leur permet d’augmenter leur productivité et de rester compétitives sur la scène mondiale.
Amazon détient assurément la palme avec 85,6 milliards $ US d’investissements en R et D en 2023.
Le Canada abrite pourtant plusieurs entreprises innovantes comme Shopify, CGI et Constellation Software.
Mais le niveau global d’investissement en R et D reste inférieur à celui des leaders.
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Comment la productivité influence-t-elle l’inflation?
La relation entre ces deux variables est cruciale.
Une productivité accrue fait en sorte que les entreprises peuvent produire plus avec les mêmes ressources, ce qui réduit leurs couts de production par unité.
Moins de couts, c’est moins de pression pour augmenter les prix, et donc moins d’inflation.
Par exemple :
Si une entreprise canadienne de fabrication de vélos électriques réussit à augmenter sa productivité grâce à l’adoption de nouvelles technologies de production, elle pourra produire plus de vélos sans augmenter ses couts.
Elle pourra alors faire un profit même en vendant ses vélos à un prix relativement bas, ce qui aide à maintenir l’inflation sous contrôle.
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Que peut faire le Canada pour améliorer sa productivité, et ainsi mieux contrôler l’inflation?
Voici quelques pistes prometteuses.
Augmenter les crédits d’impôt pour les entreprises investissant en R et D pourrait stimuler l’innovation.
Par exemple, le Programme d’aide à la recherche industrielle (Pari), du Conseil national de recherches Canada, aide déjà des entreprises comme Ballard Power Systems, de Colombie-Britannique, à développer des technologies de piles à combustible.
Renforcer les compétences en technologies de l’information et de la communication (TIC) à travers des programmes éducatifs est essentiel.
Les initiatives comme le programme CodeCan, qui finance des projets pour enseigner les compétences numériques aux jeunes Canadiens, sont un bon début.
Simplifier la règlementation et réduire la bureaucratie à chaque palier de gouvernements.
Un marché du travail plus flexible permet également une adaptation rapide aux changements économiques et technologiques.
Pour améliorer sa productivité et maitriser l’inflation, le Canada doit adopter une approche multidimensionnelle, en investissant dans la technologie, l’éducation et les infrastructures, et en créant un environnement propice à l’innovation.
La Banque du Canada a déjà joué dans les dernières années un rôle important dans la lutte contre l’inflation.
Il est maintenant temps d’être proactif pour améliorer la productivité de tous les secteurs.
Selon Statistique Canada, près d’un million de Canadiens cumulent plusieurs emplois. Leur objectif est, pour les deux tiers d’entre eux, de gagner davantage d’argent pour pouvoir se payer des extras ou, pour le tiers restant, de couvrir leurs besoins essentiels.
Or, avoir un second emploi n’est pas toujours payant, parce que le taux d’imposition bondit lorsqu’on cumule des emplois. Il est donc important de calculer si ça en vaut la peine.
Taux marginal d’imposition pénalisant
Le problème lié au fait d’avoir un second emploi, c’est la «lourde imposition» qui lui est associée, indique une note économique rédigée par Jason Dean, chercheur associé de l’Institut économique de Montréal (lEDM), et Renaud Brossard, vice-président communications de l’IEDM.
Par exemple, un travailleur à temps plein qui gagne au Québec 35 000 $ par an dans son emploi principal est soumis à un taux marginal d’imposition moyen de 27,5% sur le revenu qu’il empoche grâce à son second emploi.
Cette estimation prend pour hypothèse que le revenu du second emploi est en moyenne de 18 500 $.
Selon la note économique de l’IEDM, en tenant compte des crédits personnels de base, les taux d’imposition au Québec (impôts fédéral et provincial combinés) sur les revenus secondaires étaient les suivants pour l’année 2022:
Tranches d’imposition du premier emploi
Taux marginal d’imposition moyen du deuxième emploi
15 000 $ à 39 999 $
27,5 %
40 000 $ à 49 999 $
27,8 %
50 000 $ à 70 000 $
35,3 %
Donc:
Un travailleur à temps plein qui gagne moins de 50 000 $ par an dans son emploi principal est contraint de verser entre 27 et 28 cents en impôts pour chaque dollar gagné dans son second emploi.
Dans la tranche d’imposition suivante, qui va jusqu’à 70 000 $ pour le premier emploi, le fardeau fiscal dépasse 35 cents par dollar gagné.
«De tels niveaux d’imposition nuisent clairement aux efforts des travailleurs qui veulent avant tout améliorer leur situation financière», soulignent les auteurs dans leur note économique.
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Moins payant que des heures supplémentaires
Jason Dean et Renaud Brossard estiment que ceux qui ont un second emploi sont victimes d’une «injustice fiscale» par rapport à ceux qui font des heures supplémentaires.
En effet, les 11% de travailleurs qui font des heures supplémentaires voient celles-ci mieux rémunérées que les heures normales (en général à hauteur d’une fois et demie leur salaire horaire normal).
Ce supplément de salaire horaire «compense amplement», affirment les auteurs de la note, tout éventuel passage à un taux marginal supérieur dû aux heures supplémentaires effectuées.
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Critères de choix pour un second emploi
Par conséquent, pour qu’un second emploi soit malgré tout financièrement intéressant, il convient d’y consacrer le moins de temps possible.
Cela peut se faire si l’on parvient à réunir plusieurs conditions préalables:
Le meilleur emploi secondaire est celui qui permet d’assouvir une passion, car il permet d’avoir du plaisir et ne nous paraît pas chronophage.
Il doit être facile à accomplir et ne pas nécessiter trop d’efforts de votre part.
Il ne doit pas entrer en concurrence avec votre emploi principal.
Il doit être bien rémunéré pour demeurer intéressant sur le plan financier.
Par ailleurs, faire le choix d’un second emploi entraîne souvent la nécessité de faire certains compromis.
Un second emploi pourrait entraîner:
une augmentation de votre stress;
un déséquilibre entre votre vie pro et votre vie perso; ou
un risque d’épuisement professionnel.
Bref, prenez le temps de peser soigneusement le pour et le contre d’un second emploi.
Le début de l’été est une période idéale pour faire des modifications afin de réduire la charge fiscale et d’optimiser les diverses prestations sociofiscales (remboursent de la TPS, crédit solidarité, allocation canadienne pour enfants, etc.).
Profitons-en pour revoir quelques notions de base concernant le revenu gagné et les revenus de placements.
Ce texte a été rédigé par Ghislain Brissette, ADM.A, TEP, spécialiste en planification successorale, impôt au décès et succession.
La première chose à faire en cette période est de regarder les avis de cotisations reçus du fédéral et du Québec.
Certaines informations importantes s’y retrouvent, comme les sources de revenus.
Les revenus de placements
Les revenus de placements sont des revenus imposables qui s’ajoutent aux autres revenus comme le salaire, le revenu de pension, etc.
Les revenus de placements proviennent des comptes d’épargne, d’obligations, de dépôts à terme, de fonds communs de placement (souvent appelés fonds mutuels), d’actions, etc.
Ils s’accumulent tout au long de l’année et s’ajoutent aux autres revenus.
En fin d’année, ces différents revenus peuvent influencer de façon importante les montants d’impôts à payer ou à recevoir.
Il donc important d’optimiser la fiscalité, et cela passe par une efficience du portefeuille de placements.
Avec l’aide d’un planificateur financier ou d’un autre professionnel de la finance, on peut organiser ses placements hors REER pour minimiser les revenus de placements
Seuls les comptes non enregistrés génèrent des revenus de placements imposables.
Au contraire, les «régimes» tels que
régime enregistré d’épargne retraite (REER);
compte d’épargne libre d’impôt (CÉLI); et
régimes d’épargne-étude (REEE)
produisent des revenus de placements qui ne sont imposables, du moins pas sur une base annuelle.
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Quels sont les effets d’avoir des revenus de placements?
Ils peuvent réduire ou annuler le crédit pour la TPS et le crédit solidarité.
Ils peuvent réduire le pourcentage de remboursement des frais de garde d’enfants.
Ils peuvent faire en sorte qu’un retraité perde en partie ou en totalité sa pension de la sécurité de la vieillesse.
Pour les retraités avec un revenu plus faible, les revenus de placements peuvent leur faire perdre le supplément du revenu de retraite au fédéral.
Dans certains cas, ils peuvent obliger un contribuable à payer des acomptes provisionnels.
Tous ces impacts sont vrais pour toutes les catégories de ménages, y compris les personnes habitant seules et les familles monoparentales.
L’optimisation du portefeuille de placements est donc importante, afin de minimiser l’imposition des revenus reçus et de maximiser les remboursements d’impôts.
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Le revenu gagné et le RÉER
Hors des revenus de placements, plusieurs stratégies peuvent être mises en place pour minimiser les impôts.
La plus connue est la contribution à un REER.
Vous pouvez contribuer à un REER 18% de votre revenu gagné jusqu’à un maximum de contribution de 31 560 $ pour 2024 – ce qui correspond à un revenu gagné de 175 000 $.
Le revenu gagné est la somme de certains revenus tels que: le salaire brut, le revenu net de travail autonome, le revenu net de revenu locatif, etc.
Les revenus de placements ne sont pas considérés comme du revenu gagné.
Les droits de contribution au REER s’accumulent depuis 1990.
Donc, si vous n’avez pas fait toutes les contributions auxquelles vous aviez droit depuis 1990, vous avez un montant qui s’est accumulé.
Votre avis de cotisation du fédéral vous indique ce droit de cotisation.
Les montants que vous contribuez à un REER sont déduits de votre revenu imposable.
La déduction du REER est avantageuse pour la majorité des contribuables, parce que:
ils en profitent durant leur vie active, qui est normalement la période pendant laquelle ils travaillent, ont un revenu plus élevé, et sont donc assujettis à un taux marginal d’imposition plus élevé;
et elle leur permet de décaisser les montants qu’ils ont contribués (augmentés du rendement obtenu et accumulé à l’abri de l’impôt) durant leur retraite, lorsque leur revenu global est généralement plus faible.
En juin, l’indice des actions canadiennes S&P/TSX a baissé de 1,4%, l’indice des actions américaines S&P 500 a bondi de 3,6%, et les actions internationales ont légèrement baissé, de 0,1%.
Le marché obligataire canadien signale que les données récentes sur l’inflation compliquent les prévisions concernant de possibles baisses du taux directeur.
Au terme de la période de 12 mois terminée le 28 juin:
le S&P/TSX était en hausse de 6,5%
le S&P 500 était en hausse de 15,3%;
les actions internationales, représentées par l’indice MSCI ACWI ex USA, étaient en hausse de 6%.
En juin, les meilleurs secteurs du TSX ont été les technologies de l’information, la consommation de base et l’industrie, en hausse de respectivement 5,2%, 1,9% et 0,8%.
À l’opposé, les secteurs les moins performants ont été l’énergie, en baisse de 4,7%, puis les matériaux et les services de télécommunications, chacun en baisse de 4,6%.
Les grandes capitalisations américaines font grimper le S&P 500.
Le S&P 500 détient des positions dans environ 500 compagnies américaines, celles ayant la plus grande capitalisation boursière.
Il détient chacune en proportion de la part qu’elle représente dans la capitalisation boursière globale de ces 500 sociétés.
À la fin juin, les 10 plus grandes entreprises américaines, soit 2% du nombre des 500 entreprises, constituaient à elles seules environ 37,5% de la valeur du S&P 500.
Une autre façon de pondérer les titres dans un indice est d’attribuer à chacun une part équivalente – donc, dans le cas du S&P 500, de faire en sorte que chaque entreprise compte pour exactement 0,2% de l’indice.
L’indice S&P 500 pondéré de cette façon est connu sous le nom de «S&P 500 équipondéré».
En juin, le S&P 500 équipondéré a perdu 0,5%, alors que l’indice traditionnel était en hausse de 3,6%.
Cette comparaison met en évidence que les gains boursiers aux États-Unis sont très concentrés dans les plus grandes capitalisations de l’indice.
Ces gains n’ont pas bénéficié à l’ensemble du marché.
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Marché obligataire
En juin, le marché obligataire canadien a été marqué par une volatilité importante pour les obligations ayant des maturités de 2, 5 et 10 ans.
Après avoir atteint un sommet le 29 mai, les rendements à l’échéance (soit les taux d’intérêt que les investisseurs peuvent obtenir en achetant des obligations) ont connu une baisse notable au milieu du mois de juin.
Les obligations se négociaient alors à un rendement à l’échéance 0,5 point de pourcentage plus bas qu’à la fin mai.
Cette baisse s’est principalement manifestée après l’annonce par la Banque du Canada, le 5 juin, qu’elle baissait le taux directeur de 0,25 point de pourcentage.
L’annonce faisait penser que l’inflation et le taux directeur allaient continuer de diminuer.
Cette perspective a fait diminuer les rendements à l’échéance.
Cependant, le rendement à l’échéance des obligations a remonté d’environ 0,25 point de pourcentage à partir du 25 juin, à la suite du dévoilement de données d’inflation au Canada plus élevées qu’anticipé.
En effet, cette donnée d’inflation a refroidi l’attente que la banque centrale déciderait d’ici peu d’autres baisses du taux directeur.
La prochaine rencontre de la Banque du Canada le 24 juillet concernant le taux directeur sera assurément scrutée par le marché, qui cherchera à clarifier sa perspective sur l’évolution future du taux directeur.
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Inflation
Au Canada, l’inflation sur 12 mois a accéléré: le taux annuel est passé de 2,7% fin avril à 2,9% fin mai.
Cette hausse inattendue, alors que le marché s’attendait plutôt à une baisse (il prévoyait pour la fin mai 2,6%), suscite des inquiétudes quant à la possibilité que la Banque du Canada prenne davantage de temps avant de réduire les taux d’intérêt.
Rappelons toutefois que les données mensuelles peuvent varier beaucoup d’un mois à l’autre.
Pour l’instant, la tendance de fond, du moins au dernier trimestre, continue à montrer un ralentissement de l’inflation.
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Chez Anges Québec, nous misons sur l’investissement humain, valorisant la qualité et la compatibilité entre entrepreneurs et investisseurs.
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Les cofondateurs de Levando Simon Roy, Simon Paradis, Sébastien Michaud et Rémi Rousseau Pinard
Levando propose une solution de stockage d’énergie électrique simple à installer et qui permet de minimiser les couts de système.
La jeune pousse de Québec développe et fabrique des systèmes de batteries destinés aux marchés résidentiel, commercial et bientôt maritime. Ces systèmes visent à remplacer les batteries au plomb et les génératrices à combustible fossile, et à mieux gérer les «crêtes» d’énergie.
L’initiative
Levando souhaite rendre les solutions de stockage d’énergie accessibles à tous en proposant des systèmes de batteries intégrés et économiques conçus et assemblés au Québec.
Les batteries sont actuellement principalement fabriquées en Chine.
La startup technologique «veut développer au Québec le dernier maillon manquant de la filière batterie» pour fournir le marché québécois et nord-américain, explique à InfoBref Simon Paradis, cofondateur de Levando et ingénieur mécanique.
Ses systèmes de batteries peuvent convenir à des clients résidentiels et commerciaux.
L’entreprise a conçu une batterie lithium de 24 volts.
Elle offre assez d’énergie pour l’essentiel dans un petit chalet.
On peut aussi en utiliser plusieurs simultanément pour répondre à de plus grands besoins.
Levando veut également développer prochainement une batterie haute tension spécifiquement conçue pour le domaine maritime.
Elle pourrait, par exemple, servir dans l’électrification de certains navires, comme les navettes sur le Saint-Laurent ou des homardiers en Gaspésie, indique Simon Paradis.
«Il n’y a actuellement pas de fournisseur québécois pour ces produits-là.»
Les batteries de Levando permettent de stocker de l’énergie.
Elles peuvent ainsi:
contribuer à soulager le réseau électrique en période de pointe; et
dépanner en cas de panne de courant.
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Les porteurs
Les 4 cofondateurs, Simon Roy, Simon Paradis, Sébastien Michaud et Rémi Rousseau Pinard, se sont rencontrés à l’Université Laval.
Après avoir chacun acquis plusieurs années d’expérience, notamment chez Tesla et Lyft, ils se sont demandé dans quel secteur ils pouvaient «faire une différence» au Québec.
En octobre dernier, ils ont décidé «de lâcher leurs jobs pour se lancer dans l’aventure». Depuis, ils sont tous à temps plein sur le projet.
L’entreprise a déjà conçu 2 séries de prototypes et finalise actuellement la conception de son premier produit.
Elle espère pouvoir livrer ses premiers clients d’ici 6 à 12 mois.
Levando est accompagnée par 2 Degrés, incubateur spécialisé en technologies propres.
L’impact
L’équipe de Levando pense qu’à terme les batteries lithium, qui sont «plus propres», vont remplacer les batteries au plomb.
«Les batteries lithium peuvent bénéficier d’un grand niveau de recyclage au Québec, et la notion d’économie circulaire va faire beaucoup de sens avec le développement des voitures électriques», dit Simon Paradis.
Elles permettront une réduction directe des GES dans le domaine maritime, et aux États-Unis, où «il y a plus d’énergies fossiles dans le réseau électrique».
Au Québec, face à l’hydro-électricité, le gain de ces batteries sera d’abord important pour les clients commerciaux, «qui ont besoin de beaucoup d’énergie et pourront en faire une meilleure utilisation».
De plus, selon Simon Paradis, pour une batterie qu’on utilise tous les jours, une batterie au lithium a une durée de vie 5 fois plus longue qu’une batterie au plomb.
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Quelques semaines après avoir lancé en épicerie sa gamme de desserts glacés, la jeune pousse Grazy, de Québec, annonce un partenariat avec l’entreprise américaine Mattel et lance une crème glacée avec le nom de Barbie.
Cette crème glacée à saveur de Gâteau de fête de rêve est végétalienne et ne contient ni produit laitier ni gluten. Elle est distribuée dans les épiceries IGA, Metro, et d’autres épiceries indépendantes [portrait de Grazy dans notre rubrique Jeunes entreprises québécoises innovantes (nov. 2023)].
Il investit 120 millions $ dans la création du réseau pancanadien Fabric. Ce nouveau réseau regroupe des entreprises impliquées dans la conception, la fabrication et la vente de semi-conducteurs. Il sera coordonné par un organisme sans but lucratif.
Selon Ottawa, Fabric vise à stimuler l’innovation dans le domaine des semi-conducteurs et il contribuera à la création de 325 emplois au cours des 5 prochaines années.
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La taxe sur les services numériques (TSN) est officiellement entrée en vigueur. Le gouvernement fédéral imposera désormais une taxe de 3% sur les services que les géants du web, comme Google, Amazon, Facebook et Netflix, vendent au Canada.
David Vigneault, le directeur du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), a annoncé hier qu’il quittait son poste de directeur, qu’il occupait depuis 7 ans, et la fonction publique.
L’entreprise montréalaise CGI (TSX: GIB), spécialisée en technologies de l’information (TI), achète Celero, de Calgary, qui fournit des services technologiques à des coopératives de crédits et à des institutions financières dans l’Ouest canadien.
Les travailleurs du Zoo de Granby se sont dotés d’un mandat de grève de 10 jours. Les employés syndiqués veulent être considérés comme des salariés réguliers et non saisonniers, car le zoo est ouvert toute l’année.
Les ventes annuelles de voitures neuves au Canada ont stagné en juin, après avoir augmenté pendant 19 mois consécutifs. Selon la firme DesRosiers Automotive Consultants, les ventes ont été affectées par la cyberattaque lancée le mois dernier contre la société américaine CDK, qui fournit des logiciels aux concessionnaires automobiles.
L’ancien président du Brésil Jair Bolsonaro a été inculpé pour blanchiment d’argent et association de malfaiteurs. Selon l’agence Associated Press, ces accusations seraient en lien avec des diamants que Bolsonaro avait reçus d’Arabie saoudite pendant son mandat, sans les déclarer.
Selon plusieurs sondages de sortie des urnes,le Labour party était sur le point de remporter 410 des 650 sièges de la Chambre des communes britannique. Le chef des travaillistes Keir Starmer, 61 ans, devrait donc succéder au premier ministre conservateur sortant, Rishi Sunak.
Les Conservateurs étaient au pouvoir depuis 14 ans. Ils auraient perdu plus de 200 sièges par rapport aux précédentes élections en 2019. Ces résultats, s’ils se confirment, seraient les plus mauvais du parti depuis le début du XXᵉ siècle.
Selon Le Devoir, pour protéger l’habitat des 3 populations de caribou forestier de Charlevoix, Val-d’Or et Pipmuacan, au Saguenay–Lac-Saint-Jean, le gouvernement fédéral songe à interdire par décret la récolte forestière sur 1,6 million d’hectares de forêt, dont 1 million dans le secteur du Pipmuacan.
Des consultations sont en cours, jusqu’au 18 aout prochain, pour préciser l’étendue des zones de protection et la portée des interdictions proposées dans ces zones.
Microsoft a annoncé fin mai l’arrivée de nouveaux «PC Copilot+». Ces ordinateurs portables haut de gamme doivent proposer une puissance et une autonomie suffisante pour animer les applications d’intelligence artificielle générative les plus performantes.
Ça n’aura pris que quelques semaines pour que des fabricants mettent en marché leurs premiers ordinateurs portables prêts à être certifiés PC Copilot+. En voici trois que j’ai essayés.
Microsoft Surface Pro 11
Microsoft propose une 11e génération très puissante de sa tablette hybride, convertible en un PC portable grâce à l’étui-clavier correspondant.
Son processeur Snapdragon X de Qualcomm promet 90% plus de muscle, tandis que son autonomie grimpe à 14h par charge.
L’appareil est aussi doté d’un processeur neuronal (NPU) qui permet d’animer l’assistant d’IA Copilot inclut dans Windows 11.
PLUS: Idéale pour les applications d’IA incluses dans les logiciels Microsoft | Excellente autonomie | Format hybride pratique
MOINS: Prix qui grimpe rapidement | Pas tous les logiciels pour Windows sont compatibles avec la puce Snapdragon X
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La Fédération de la santé du Québec (FSQ-CSQ), qui représente 5600 infirmières, a conclu une entente de principe avec le gouvernement dans le cadre des négociations sur le renouvellement de la convention collective. L’entente doit encore être approuvée par ses membres.
Les manifestants qui avaient installé un campement propalestinien à l’Université de Toronto ont dû quitter les lieux. Une ordonnance d’un tribunal l’exigeait. À Montréal, 2 campements propalestiniens sont toujours installés à l’Université McGill et au square Victoria.
Les travailleurs de l’hôtel montréalais Le Reine Elizabeth se sont dotés d’un mandat de grève de 5 jours. Leur syndicat négocie de concert avec une trentaine d’autres syndicats hôteliers. Au total, plus de 3500 travailleurs du secteur se prononceront sur des mandats de grève dans les prochaines semaines.
La Compagnie de la Baie d’Hudson achète, selon plusieurs médias, la chaine américaine de magasins de luxe Neiman Marcus. L’entreprise canadienne, dont le siège social est à Toronto, débourserait environ 3,6 milliards $ pour cette acquisition.
Jeff Bezos va vendre l’équivalent de 5 milliards $US d’action d’Amazon. Il en avait déjà vendu pour 8, 5 milliards $US en février. Après ces deux transactions, le fondateur de l’entreprise possèdera encore l’équivalent de 180 milliards $ d’actions d’Amazon.
Selon un rapport publié par Google, la filiale d’Alphabet aurait émis un peu plus de 14 millions de tonnes de gaz à effet de serre l’an dernier, ce qui représente une augmentation de presque 50% en 5 ans.
Google explique ce bond par la popularité et le développement de l’intelligence artificielle, qui requièrent beaucoup d’énergie afin de traiter une quantité croissante de données. Google s’est fixé l’objectif d’être carboneutre d’ici 2030.