L’action du constructeur américain de voitures électriques (Nasdaq: TSLA) a baissé plus de 8% hier.
Cette chute a suivi la publication d’un rapport de l’Association des constructeurs européens signalant une baisse en janvier de 45% des ventes de l’entreprise en Europe par rapport au même mois l’an dernier.
Pourtant, les ventes globales de véhicules électriques – tous constructeurs confondus – y ont au contraire bondi de 37%.
Depuis la mi-décembre, Tesla a perdu environ le tiers de sa valeur en bourse.
L’institution a augmenté au cours de son dernier exercice sa dotation pour pertes de crédit.
Comme les banques, la coopérative québécoise met de côté des provisions pour couvrir les prêts que ses clients ne seraient pas en mesure de lui rembourser.
Elle a mis de côté en 2024 près de 600 millions $, soit 68 millions $ de plus que durant l’exercice précédent.
Le PDG de Desjardins Guy Cormier a expliqué que l’institution se prépare à faire face à de l’incertitude économique.
Un regroupement composé de centrales syndicales et d’associations de personnes sans emploi demandent au gouvernement fédéral d’assouplir plusieurs conditions du programme d’assurance-emploi en raison du contexte de menaces tarifaires.
Le regroupement voudrait qu’Ottawa:
hausse le montant des prestations;
établisse un seuil plancher à 500 $ par semaine;
fixe une norme universelle d’admissibilité de 420 heures; et
simplifie le processus de versement de prestation.
Selon un rapport de la Banque RBC,plus de 60% des exportations agricoles et agroalimentaires canadiennes sont destinées aux États-Unis.
Les auteurs du rapport soutiennent que, dans le contexte de guerre tarifaire, l’industrie agricole canadienne gagnerait à réduire la proportion des produits qu’elle vend aux États-Unis en diversifiant ses marchés d’exportation.
Ils estiment que le Canada pourrait augmenter de 30% sa part du marché mondial agricole:
en utilisant les accords de libre-échange existants; et
en réalisant des investissements clés dans des infrastructures de production et d’exportation.
Mark Carney, Chrystia Freeland, Karina Gould et Frank Baylis ont débattu en français hier soir lors du premier débat de la course à la chefferie du Parti libéral du Canada.
La guerre commerciale contre les États-Unis a occupé une part importante des échanges.
Chrystia Freeland a souligné qu’elle avait déjà affronté Donald Trump lors de son premier mandat.
Les autres candidats ont toutefois noté que le président américain ne représentait à l’époque pas la même menace.
Mark Carney a, plus que les autres candidats, critiqué les idées du chef conservateur Pierre Poilievre, qu’il a qualifié de «mauvaise personne au pire moment pour l’économie canadienne».
Aucun des candidats ne prévoit de réduire les transferts aux provinces.
Aucun, non plus, ne s’est engagé à soutenir un projet de Constitution québécoise.
Justin Trudeau et Volodymyr Zelensky (source: compte X du président ukrainien)
Le Canada va lui livrer 25 véhicules blindés légers supplémentaires et 2 véhicules blindés d’appui au combat.
Par ailleurs, le gouvernement fédéral versera dans les prochains jours à l’Ukraine la première moitié des 5 milliards $ d’actifs russes qu’Ottawa a saisis à la Russie dans le cadre de sanctions économiques.
Justin Trudeau a dit qu’il était «absolument possible» que des soldats canadiens se joignent, après la conclusion d’un accord de paix, à une force internationale qui aurait pour mandat d’assurer le maintien de la paix en Ukraine.
Les États-Unis n’ont pas réussi à faire approuver une résolution visant à mettre rapidement fin à la guerre en Ukraine et qui ne mentionnait ni l’invasion russe ni le respect de l’intégrité territoriale de l’Ukraine.
Cette résolution n’a été adoptée qu’après avoir été amendée pour y ajouter que la Russie avait envahi l’Ukraine, violant ainsi la charte des Nations unies.
Une autre résolution, soumise par l’Ukraine et appuyée par les pays européens, a été elle aussi adoptée.
Elle exige le retrait immédiat, complet et sans condition des troupes russes du territoire ukrainien.
Recevez gratuitement, un samedi par mois, les conseils de nos chroniqueurs experts en finances personnelles et consommation. Abonnez-vous à l'infolettre
Votre adresse servira uniquement à vous envoyer nos infolettres. Vous ne recevrez pas de courriels publicitaires et vous pourrez vous désabonner en tout temps.
Le gouvernement Legault va limiter l’approvisionnement des ministères et des organismes publics sur les sites d’achat en ligne qui, comme Amazon, vendent «très peu, ou pas du tout, de biens québécois».
Selon les nouvelles règles fixées par le gouvernement:
les employés des ministères devront obtenir une autorisation pour effectuer des achats en ligne; et
les organismes publics devront adopter des lignes de conduite internes concernant l’achat québécois.
La présidente du Conseil du trésor Sonia LeBel a également annoncé que les stratégies d’acquisitions du gouvernement seront modifiées pour y inclure des critères favorisant les entreprises québécoises.
Le sursis d’un mois accordé par le gouvernement américain au Canada et au Mexique arrive à son terme dans exactement une semaine, le 4 mars.
Donald Trump a dit hier, lors d’une conférence de presse, que la taxe douanière de 25% sur tous les produits physiques qui proviennent de ses deux voisins nord-américains serait «appliquée à temps, selon le calendrier prévu».
Le pétrole et le gaz canadiens doivent, eux, être visés par une taxe de 10%.
Le Globe and Mail a dressé, pour l’année 2025, sa liste annuelle des meilleures actions canadiennes à dividendes.
Les 20 entreprises qui y figurent sont jugées comme étant en bonne santé financière, et ayant un titre boursier bon marché et susceptible de fournir des revenus de dividendes réguliers.
Le Globe and Mail regroupe chaque année les 20 actions qui se classent le mieux selon ces critères dans un portefeuille virtuel qu’il appelle Dividend All-Stars.
Selon le quotidien, un tel portefeuille:
où chacune des actions sélectionnées au début de chaque année aurait reçu un même montant initial d’investissement; et
qui aurait été rééquilibré chaque mois pour que toutes les actions y conservent le même poids durant l’année;
aurait généré un rendement annuel moyen de 16,4% entre 1999 et 2025.
Consultez la section ARGENT d’InfoBref avec chaque jour nos nouvelles brèves, et chaque mois nos conseils en finances personnelles, consommation et investissement. Pour les recevoir gratuitement par courriel, abonnez-vous aux infolettres d’InfoBref ici ou en cliquant Infolettres en haut à droite
Actions sélectionnées en 2025 dans le portefeuille Dividend All-Stars
AGF Management (TSX: AGF.B)
ATCO (TSX: ACO.X)
Banque Scotia (TSX: BNS)
Cogeco Communications (TSX: CCA)
Empire (TSX: EMP)
Extendicare (TSX: EXE)
Fairfax Financial (TSX: FFH)
Financière First National (TSX: FN)
iA Groupe Financier (TSX: IAG)
Financière IGM (TSX: IGM)
Banque Laurentienne (TSX: LB)
Manuvie (TSX: MFC)
MCAN Mortgage (TSX: MKP)
Petrotal (TSX: TAL)
Power Corporation du Canada (TSX: POW)
Suncor Energy (TSX: SU)
Tamarack Valley Energy (TSX: TVE)
Transcontinental (TSX: TCL)
Westshore Terminals (TSX: WTE)
Whitecap Resources (TSX: WCP)
Prenez en main vos placements: choisissez les actions, FNB, fonds communs, CPG et obligations qui vous conviennent, et gérez vous-même votre portefeuille, en minimisant les frais. Voyez les avantages de Qtrade Investissement direct >
L’entreprise de camionnage TFI International (TSX: TFII) a annoncé qu’elle abandonne son projet, annoncé la semaine dernière, de transférer d’ici un an son siège social de Montréal aux États-Unis.
TFI a expliqué ce revirement par la réaction de ses actionnaires.
La Caisse de dépôt, qui est l’un des principaux actionnaires de TFI, avait exprimé son «mécontentement» face aux intentions de l’entreprise.
l’embauche de 20 000 travailleurs, principalement en recherche et développement; et
la construction au Texas d’une usine de fabrication de serveurs conçus pour faire fonctionner l’application Apple Intelligence sur les appareils Apple.
Apple a fait cette annonce après une rencontre la semaine dernière entre Donald Trump et le PDG de l’entreprise américaine.
Si elle ne modifiait pas son modèle de production, l’entreprise, qui fait fabriquer une partie de ses produits en Chine, serait pénalisée par le contexte de guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis.
Le service chinois de vente en ligne lance ce qu’il présente comme un «modèle local-à-local».
Ce modèle doit permettre aux entreprises enregistrées au Canada d’y vendre leurs produits, à condition qu’elles puissent elles-mêmes les faire distribuer aux clients.
Temu a déjà mis en place des modèles similaires aux États-Unis, au Mexique et dans plusieurs pays d’Europe.
Depuis avril dernier, la Régie de l’énergie permettait à Énergir d’imposer à ses nouveaux clients d’être alimentés soit par un mélange de gaz naturel et de gaz naturel renouvelable (GNR), soit uniquement par du GNR.
Cette décision avait été critiquée, parce que le GNR coute environ 8 fois plus cher que le gaz naturel fossile.
La Régie de l’énergie est revenue sur sa décision. Elle ordonne à Énergir de:
cesser d’imposer du GNR; et
rembourser, avec intérêt, ses clients qui ont été obligés d’en acheter.