Pour voyager léger et économiser des frais d’enregistrement, ou pour avoir sous la main vos effets dans l’avion, il vous faut un bagage qui respecte les limites imposées. Sous forme de valise ou de sac à dos, les bagages de cabine sont conçus pour ce genre de situation.
Nous avons analysé puis comparé 52 modèles de bagages de cabine pendant 36 heures, et pris en compte les avis de 1524 consommateurs. Voici es trois modèles que nous recommandons en priorité.
Une valise dont les dimensions se rapprochent le plus possible du maximum alloué par les compagnies aériennes, pour avoir un volume maximal disponible pour ses affaires?
C’est ce que propose l’AmazonBasics N989.
Solide et abordable, elle permet d’apporter un maximum d’articles sans devoir les enregistrer.
Vous pouvez bien y ranger vos effets personnels, tout en les protégeant grâce à son épaisse coque.
L’AmazonBasics N989 est une valise de cabine pratique offerte à un prix concurrentiel.
Son design est composé d’une coque rigide plus épaisse que la moyenne.
Faite de plastique ABS, elle protège efficacement le contenu des coups et des chocs.
La surface externe n’offre pas une résistante parfaite contre les égratignures, mais sa finition camoufle bien les défauts qui pourraient survenir.
Sur l’une de ses façades se trouvent quatre pattes antidérapantes qui permettent de déposer la valise sur le côté sans qu’elle frotte au sol.
Sa poignée télescopique n’est pas d’une très grande qualité et elle peut avoir tendance à branler lors de son utilisation.
Heureusement, ses quatre roues doubles pivotantes sur 360 degrés aident grandement au déplacement.
Son compartiment principal est muni d’un séparateur le divisant en deux.
Ce dernier est composé de deux pochettes à fermeture éclair et une troisième est également intégrée à la valise pour que vous puissiez y ranger de petits items.
Ce modèle est extensible, mais n’oubliez pas de vérifier auprès de votre compagnie aérienne si la taille accrue respecte les limites imposées.
En effet, sans l’extension, les dimensions de la valise sont déjà près de la limite de nombreuses compagnies.
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L’Asenlin 40L est un sac à dos relativement abordable dont le format respecte les restrictions de grandeur des compagnies aériennes.
Fait de polyester oxford, il résiste très bien à l’usure et il empêche l’eau d’atteindre son contenu.
Ce matériel n’est pas l’unique composante de qualité de ce sac; ses fermetures éclair le sont tout autant.
Si vous êtes à la recherche d’un produit permettant une bonne organisation, celui-ci devrait répondre à vos besoins.
En plus de son compartiment principal, il offre une large pochette pouvant contenir des ordinateurs portables de grande taille.
Une pochette à l’avant vous permet de ranger divers petits items et vous pouvez glisser une bouteille d’eau dans l’espace destiné à cet effet sur le côté.
Ce sac s’ouvre complètement et non seulement sur le dessus, ce qui vous donne un accès à tout ce qui s’y trouve.
Des sangles latérales viennent compresser le bagage et les bretelles respirantes vous permettent de le porter.
Son design permet de ranger lesdites bretelles à même une pochette intégrée.
Une sangle sternale entièrement ajustable vous permet de stabiliser le sac sur vos épaules, mais celle-ci n’est pas d’une très haute qualité et peut rompre après quelques utilisations.
Trois cubes d’emballages sont inclus avec votre achat pour un maximum d’organisation.
La Rockland Melbourne fait partie des valises de cabine les plus abordables sur le marché présentement.
Son faible prix s’explique par le choix du matériel qui la compose.
Faite en ABS, elle est légère, mais sa durabilité est mise à l’épreuve face aux chocs et à une utilisation fréquente.
Elle est donc plus adaptée aux voyageurs occasionnels.
À l’intérieur se trouve un séparateur qui divise une partie de vos vêtements.
Des sangles élastiques viennent maintenir en place le reste du contenu.
Une pochette à fermeture éclair permet de ranger quelques petits items.
Si l’espace disponible est un peu trop limité, vous pouvez profiter de son extension qui ajoute quelques centimètres de plus à l’épaisseur totale de la valise et qui accroit donc le volume.
Au niveau de sa maniabilité, ce modèle possède quatre roues doubles qui peuvent pivoter sur 360 degrés.
Une poignée télescopique en aluminium permet de tirer votre bagage sans effort.
L’un des aspects intéressants de ce produit est la grande variété de couleurs qui sont offertes.
Peu importe votre couleur préférée, vous êtes pratiquement assuré d’avoir une valise de cette couleur.
En mars, les indices S&P/TSX et S&P 500 ont enregistré respectivement des pertes de 1,5% et 5,6%, tandis que l’indice des actions internationales s’est distingué pour un troisième mois consécutif avec une perte de seulement 0,1%.
Les craintes d’un ralentissement économique, provoqué par les politiques du gouvernement américain, et la chute des «Sept magnifiques» ont nui au S&P 500.
Ce texte a été rédigé par Anthony Ménard, CFA, vice-président de la gestion des données chez Inovestor.
Au terme de la période de 12 mois terminée le 31 mars:
le S&P/TSX était en hausse de 15,8%;
le S&P 500 était en hausse de 8,3%; et
les actions internationales, représentées par l’indice MSCI ACWI ex USA, était en hausse de 6,8%.
En mars, les secteurs les plus performants au TSX ont été les matériaux, l’énergie et l’industrie, en hausse de respectivement 7,2%, 5,6% et 3,8%.
Les secteurs les moins performants ont été les technologies de l’information, la consommation discrétionnaire et la santé, en baisse de respectivement 11,6%, 4% et 3,9%.
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Des performances industrielles très contrastées
L’environnement de risque tarifaire entraîne des dynamiques variées selon les industries depuis le début de l’année.
Par exemple, dans le secteur des matériaux, qui affiche un rendement global époustouflant de 20,3%:
Les titres aurifères du S&P/TSX Composite ont enregistré un rendement médian incluant les dividendes de 33,9% durant les trois premiers mois de 2025 (12,9% durant le seul mois de mars).
Par contraste, les titres des matériaux non aurifères accusent, eux, un recul de 4,1% depuis le début de l’année.
Du côté de l’industrie, malgré une performance globale respectable depuis le début de l’année de 6,6%:
la médiane des rendements des titres industriels est au contraire négative, de -5,1%, parce que la performance a été très concentrée sur certains titres; et
le segment du transport a chuté de 14,4%.
Malgré la solide performance du secteur qui est dominé par les grandes entreprises, les petites entreprises industrielles, elles, ont été particulièrement touchées par les risques tarifaires.
Inflation et chômage
Au Canada, l’inflation sur 12 mois a accéléré: elle est passée de 1,9% en janvier à 2,6% en février.
La hausse de l’inflation est attribuée au retour de la TPS sur divers biens qui avait été suspendue pendant deux mois par le gouvernement fédéral.
Le chômage canadien s’est maintenu à 6,6% de janvier à février.
Le nombre de personnes à la recherche d’emploi a diminué de 17 900 personnes.
Il y a eu un léger gain net d’emploi, de 1100.
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Taux d’intérêt
Le taux directeur de la Banque du Canada a été abaissé le 12 mars de 3% à 2,75%.
Cette décision a été prise de façon préventive face aux menaces de tarifs de l’administration américaine.
La Banque du Canada a concédé que les risques d’inflation étaient plus élevés que prévu auparavant et que, sans les menaces tarifaires, elle aurait probablement laissé son taux directeur inchangé.
La prochaine rencontre sur la politique monétaire sera le mercredi 16 avril.
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Plusieurs programmes d’aide gouvernementaux peuvent permettre à des travailleurs d’améliorer leurs compétences, et ainsi d’accéder à un emploi mieux rémunéré.
Voici un tour d’horizon des principaux programmes. Certains offrent un remboursement intégral des frais liés à une formation.
Crédit d’impôt pour la formation
Le crédit canadien pour la formation (CCF) est un crédit d’impôt remboursable offert par le gouvernement fédéral.
Il apporte une aide financière en vue de couvrir jusqu’à la moitié des frais de scolarité et autres frais admissibles engagés pour suivre un programme de formation.
Les travailleurs admissibles accumulent 250 $ par an dans un compte théorique.
Cette accumulation annuelle a démarré pour tous en 2019 et peut atteindre un maximum de 5 000 $.
Les travailleurs peuvent y recourir s’ils suivent un programme de formation admissible.
Pour l’année d’imposition 2021, près de 600 000 travailleurs ont demandé ce crédit.
Dans 61% des cas, il s’agissait de femmes.
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Mesure de formation de la main-d’œuvre
Emploi-Québec permet aux personnes à la recherche d’un emploi ou qui souhaitent changer de métier de suivre un programme de formation en obtenant une subvention, voire un remboursement intégral.
Le programme de formation suivi doit aider le travailleur à trouver ou à garder un emploi.
Cette mesure vise avant tout à créer des emplois dans la province.
Les aides sont généralement attribuées aux travailleurs œuvrant ou visant un secteur d’activité jugé comme particulièrement porteur en matière d’emploi (technologies de l’information, multimédia, santé, chimie).
Cette démarche présente l’avantage d’inciter les travailleurs à se diriger vers des secteurs d’activité qui embauchent vraiment.
Programme pour la requalification et l’accompagnement
Le gouvernement québécois propose un Programme pour la requalification et l’accompagnement en technologies de l’information et des communications (Pratic).
Il s’adresse à ceux qui souhaitent suivre à temps plein une formation dans le domaine du numérique.
Cette aide financière vise à encourager les personnes sans emploi à entreprendre une carrière dans le numérique.
Pour être admissibles, les travailleurs doivent:
être recommandés par un agent d’emploi de Services Québec;
ne pas avoir été aux études à temps plein dans les 12 mois précédant la demande; et
répondre aux exigences de passage de tests de sélection (tests d’aptitude et lettre d’intention).
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Formation Québec en réseau
Le FQR est le consortium des Services aux entreprises du réseau de l’éducation du Québec.
Sa mission consiste à soutenir la formation en entreprise ainsi que le développement des compétences de la main-d’œuvre.
Il offre des programmes de formation dans tous les secteurs d’activité, à l’échelle de la province.
Et ce, en centre de formation professionnelle, en entreprise et en ligne.
Son catalogue est riche de plusieurs centaines de programmes de formation.
Il offre un choix très large, allant:
de «l’acquisition des connaissances et habiletés nécessaires à la construction de charpentes de planchers» (construction et ébénisterie)
à «la conception de bouquets de mariée» (horticulture).
Suivre un programme de formation pertinent peut s’avérer payant.
Une formation peut vous amener à assumer davantage de responsabilités au travail, et vous permettre d’être mieux rémunéré.
Elle peut aussi accroitre votre capital humain (vos connaissances et vos aptitudes), et vous rendre plus attractif auprès de futurs employeurs. Cela peut aussi vous aider à vous réorienter vers un domaine professionnel plus stimulant pour vous.
Lorsqu’on vit dans un grand centre urbain, est-ce plus économique d’utiliser les transports collectifs et actifs plutôt qu’être propriétaire d’une auto et de se déplacer avec?
Une collaboratrice d’Unpointcinq qui ne possède pas de voiture a fait l’exercice de comptabiliser ses dépenses en transport pour l’année 2024. Elle a ensuite comparé ce montant avec le cout moyen d’utilisation d’une auto personnelle. Bilan des courses? Elle a économisé plusieurs milliers de dollars!
Maïté Belmir n’a pas de voiture personnelle mais utilise de nombreux autres modes de déplacement, en plus de la marche: autopartage, bus, métro, taxi à l’occasion et vélo.
Elle a dépensé l’an dernier plus de 3 750 $ pour ses déplacements, la location d’autopartage représentant les deux tiers de son budget.
Pour se déplacer en 2024, la journaliste a utilisé :
les services de la Société des transports de Montréal (865 $);
le service d’autopartage Communauto (2467 $);
Uber (332 $); et
les vélos en libre-service Bixi (96 $).
Sa facture totale s’est élevée à 3 761 $, soit 313 $ par mois.
Le cout moyen pour l’utilisation d’une voiture personnelle s’élève à 8 614 $ par an, selon CAA Québec.
Ce montant, établi pour l’achat d’un modèle populaire (une Mitsubishi Mirage) comprend
l’assurance et l’immatriculation;
l’entretien de base;
la consommation d’essence;
la dépréciation du véhicule; et
le remboursement du prêt réalisé pour acheter l’auto (et des taux d’intérêt associés).
Cette dernière dépense représente à elle seule 357 $ par mois, soit plus que le montant dépensé mensuellement par notre collaboratrice.
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Pour rappel, la possession et l’utilisation de l’automobile représentent plus de 90% des dépenses des ménages canadiens en transport, ce dernier étant le second poste de dépense après l’habitation, selon Statistique Canada (2022).
Pour Maïté, qui vit seule et à Montréal, l’économie réalisée en un an s’élève tout de même à 4 850 $.
Ce n’est pas rien – en plus d’avoir limité considérablement son empreinte carbone en favorisant les transports actifs et collectifs.
[Cette brève est tirée d’une vidéo d’Unpointcinq. Regardez-la ici]
Femme transgenre, entrepreneure et conférencière internationale, Béatrice Robichaud prouve qu’inclusion et performance vont de pair. À travers des conférences vibrantes, elle partage comment diversité, innovation et bienveillance transforment les milieux de travail.
Son parcours unique inspire à créer des environnements sains, humains et stimulants. Engagée pour la santé mentale et l’inclusion LGBTQ+, elle invite à briser les tabous, renforcer la cohésion et bâtir des organisations où chacun peut s’épanouir pleinement. Un message puissant et mobilisateur.
Nous reprenons, au moins un vendredi par mois, notre tournée des initiatives québécoises visant un impact social ou environnemental.
Les organisations présentées dans notre série d’articles série «Initiatives d’impact» sont choisies par des partenaires qui les soutiennent et contribuent à financer cette série. Nous vous invitons à découvrir ces prochaines semaines des initiatives qui bénéficient de l’appui de la Caisse d’économie solidaire. Faites de belles découvertes!
Jessie Jolin, Isabelle Bergeron, Sarah Arseneault-Dumais (source: L’Atelier Touristique / Charles & Annie photographie)
L’agence de communication et marketing, basée à Sherbrooke, en Estrie, élabore des stratégies, crée du contenu et fait de la gestion de projets pour valoriser des attraits, événements et projets touristiques.
L’Atelier Touristique vient de finaliser en novembre dernier son parcours pour devenir une coopérative de travailleurs. Elle a reçu le prix Coup de cœur du Réseau d’investissement social du Québec.
L’initiative
La mission principale de l’Atelier Touristique est de répondre aux besoins en communication des entreprises et des organisations touristiques régionales.
Ce qui la distingue des autres agences, c’est son approche personnalisée, explique à InfoBref Isabelle Bergeron, consultante en communication et cofondatrice de l’Atelier touristique.
La coopérative propose d’abord à ses clients une rencontre pour connaitre leurs réels besoins et reste «à l’écoute de leurs idées».
(source: L’Atelier Touristique / Charles & Annie photographie)
De plus, «il y a assez peu d’agences qui travaillent beaucoup en tourisme».
La cofondatrice souligne que L’Atelier Touristique connait le secteur et ses acteurs.
Cette connaissance permet à la coopérative de mieux conseiller ses clients, et de les orienter, par exemple, vers certains programmes réservés au milieu touristique.
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Les porteurs
Le projet est né en 2023. Ses 4 membres fondatrices «tissées serrées» travaillaient ensemble dans une association de tourisme régionale.
«Réunies par un amour des communications et du tourisme, deux passions jumelées», elles se sont lancées l’an dernier parce qu’elles savaient qu’il y avait un vrai besoin.
Cette équipe multidisciplinaire couvre tout le spectre des communications.
Elle est appuyée par un réseau de professionnels – photographes, vidéastes, graphistes, traducteurs – qui collaborent sur des projets de façon ponctuelle.
Message du commanditaire La coopérative financière des entreprises collectives partout au Québec Joignez le mouvement!
L’impact
Le développement durable est l’un des fondements de L’Atelier Touristique.
«Les aspects de durabilité et de responsabilité teintent toutes nos initiatives», assure Isabelle Bergeron.
La coopérative propose «une communication durable, respectueuse et pérenne».
Elle valorise:
le tourisme local, au Québec et dans sa région, l’Estrie; et
le maillage entre entreprises, lorsque des petites entreprises, «qui n’ont pas un budget énorme pour la communication», s’associent pour un évènement afin de mettre en commun certaines ressources.
Pour découvrir d’autres initiatives d’impact social ou environnemental un vendredi sur deux, et pour recevoir chaque jour l’essentiel des nouvelles importantes à lire en 5 minutes, abonnez-vous gratuitement à l’infolettre InfoBref Matin ici ou en cliquant Infolettres en haut à droite
Fatigue, baisse de libido, humeur instable, pertes de mémoire… Sur YouTube, TikTok et Instagram, on pointe du doigt les hormones, on promet qu’une diète ou des suppléments pourront les « rééquilibrer ». Mais attention : derrière ces messages simplistes, souvent amplifiés par le marketing, se cachent parfois des risques bien réels pour la santé.
Mark Carney a annoncé que son gouvernement allait riposter aux tarifs américains qui visent l’industrie automobile.
Les contre-tarifs canadiens s’appliqueront sur les véhicules importés des États-Unis qui ne sont pas conformes à l’Accord Canada–États-Unis–Mexique parce que moins de 75% de leurs pièces sont d’origine nord-américaine.
Toutefois, les constructeurs qui maintiennent leur production et leurs investissements au Canada ne seront pas visés.
Contrairement aux tarifs américains, les contre-tarifs ne viseront pas les pièces automobiles.
Ottawa estime qu’ils lui permettront de récolter 8 milliards $, qui seront utilisés pour soutenir l’industrie automobile canadienne et ses employés.
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La Cour d’appel du Québec a jugé que la réforme de l’éducation du gouvernement Legault brime les droits de la communauté anglophone.
Cette décision vient confirmer un premier jugement rendu en 2023.
Le juge de la Cour d’appel estime que plusieurs mesures ne respectent pas les droits conférés à la minorité linguistique par la Charte canadienne des droits et libertés.
Les deux entreprises américaines ont toutes les deux annoncé hier des mesures qui visent à favoriser l’utilisation de l’intelligence artificielle par les étudiants.
Anthropic a lancé Claude for Education, une version de son robot conversationnel conçue spécifiquement pour les étudiants.
Cette version dispose d’un «mode d’apprentissage» qui vise à les encourager à raisonner plutôt que d’obtenir directement une réponse.
OpenAI offrira jusqu’en mai aux étudiants canadiens et américains un accès gratuit à la version Plus de ChatGPT.
À l’occasion de la campagne électorale fédérale, InfoBref invite le professeur de journalisme et spécialiste de la politique Patrick White à nous donner chaque semaine, en une dizaine de minutes, un compte-rendu des éléments saillants à connaître.