ENTREPRENEURS, GESTIONNAIRES, PROFESSIONNELS ENTREPRENEUR·ES et
PROFESSIONNEL·LES

Voici l’info qu’il vous faut:
pertinente, utile et brève

Recevez gratuitement du lundi au vendredi:

et un samedi par mois:

Votre adresse servira uniquement à vous envoyer nos infolettres. Vous ne recevrez pas de courriels publicitaires et vous pourrez vous désabonner en tout temps.

InfoBref vous est offert gratuitement grâce au soutien de:

Les conservateurs promettent 1 million d’emplois dès la première année

Mis à jour le 22 août 2021
par Johanna Sabys
Les conservateurs promettent 1 million d’emplois dès la première année

Le chef du Parti conservateur Erin O’Toole (Source: Twitter)

  • Le chef du Parti conservateur Erin O’Toole a présenté aujourd’hui la plateforme de son parti, au 2e jour de la campagne fédérale. Les conservateurs misent sur l’emploi et veulent avant tout relancer l’économie.
  • Mais, si O’Toole devenait premier ministre, il annulerait les accords conclus entre le gouvernement Trudeau et les provinces pour créer des programmes de garderies à 10 $: il les remplacerait par un crédit d’impôt remboursable calculé en fonction du revenu familial. 

Le PCC s’engage à:  

  • récupérer d’ici un an les 1 million d’emplois perdus pendant la pandémie, notamment grâce à des prêts aux PME, et des crédits d’impôt pour les entrepreneurs; 
  • augmenter les transferts en santé fédéraux et proposer aux provinces de rétablir l’augmentation de 6% par an qui était en vigueur sous le gouvernement conservateur de Stephen Harper;
  • relancer l’industrie pharmaceutique au pays; et 
  • revenir à l’équilibre budgétaire d’ici 2031. 

Les autres partis n’ont pas de plan pour relancer l’économie, dit O’Toole.

  • Les libéraux, les néo-démocrates, les bloquistes et les verts dilapident les fonds publics, et ne se préoccupent pas de l’inflation, selon le chef conservateur. 
  • Erin O’Toole croit qu’à cause des autres partis fédéraux la pandémie «a rendu les riches plus riches et les pauvres plus pauvres».

Le plan des conservateurs n’a pas encore été chiffré ni soumis à l’analyse du Directeur parlementaire du budget.

Johanna Sabys