ENTREPRENEURS, GESTIONNAIRES, PROFESSIONNELS ENTREPRENEUR·ES et
PROFESSIONNEL·LES

Voici l’info qu’il vous faut:
pertinente, utile et brève

Recevez gratuitement du lundi au vendredi:

et chaque samedi:

Votre adresse servira uniquement à vous envoyer nos infolettres. Vous ne recevrez pas de courriels publicitaires et vous pourrez vous désabonner en tout temps.

InfoBref vous est offert gratuitement grâce au soutien de:

Pourquoi Donald Trump redoute de perdre la présidence

Publié le 16 nov. 2020
par Johanna Sabys
  • Dans deux mois, lorsqu’il devra céder sa place à la Maison-Blanche à Joe Biden, le président sortant devra affronter plusieurs procédures judiciaires. 
  • Donald Trump sera alors privé de son immunité présidentielle.

L’un des privilèges que le président veut garder est l’immunité que le système juridique américain offre à un président en exercice.

Voici les principales affaires qui attendent Trump lorsqu’il perdra cette immunité.

Fraudes et évasion fiscales

  • Le procureur du district de Manhattan et la procureure générale de New York poursuivent Trump et sa société familiale pour fraudes bancaires, fiscales et d’assurances.
  • Trump pourrait également faire face à des poursuites pénales qui seraient engagées par le département américain de la Justice pour évasion fiscale.

Agression et diffamation

  • La journaliste E. Jean Carroll accuse Trump de l’avoir violée dans les années 1990. Elle l’a poursuivi en diffamation lorsque le président l’a accusée de mentir pour augmenter les ventes de son livre.
  • Une candidate de l’émission The Apprentice accuse Trump de l’avoir embrassée et pelotée contre son gré en 2007 et elle le poursuit également pour diffamation.

Pour éviter certaines poursuites, Trump voudrait bénéficier d’un pardon présidentiel.

  • La chaine américaine CNN rapporte que Trump a demandé de nombreuses fois à ses collaborateurs s’il pouvait se pardonner lui-même.
  • Mais lorsque le ministère de la Justice a examiné la question pour le président Nixon en 1974, il a tranché que ce n’était pas possible.

Johanna Sabys