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Droits de la personne: Trudeau répond à la Chine

Mis à jour le 31 mars 2022
par Johanna Sabys
Droits de la personne: Trudeau répond à la Chine
  • Justin Trudeau juge qu’il y a une différence fondamentale entre les relations du Canada avec les Autochtones et les graves violations des droits de la personne commises par la Chine contre la minorité musulmane ouïghoure.
  • Quelques heures après une confrontation diplomatique entre le Canada et la Chine au Conseil des droits de l’homme, le premier ministre a souligné les efforts du gouvernement canadien «pour réparer les erreurs du passé», avant de demander «où est la commission de vérité et réconciliation» chinoise.  

À Genève, devant le Conseil des droits de l’homme, l’ambassadrice du Canada auprès des Nations unies Leslie Norton a demandé à nouveau à la Chine, au nom d’une quarantaine de pays, d’autoriser aux observateurs de l’ONU «un accès immédiat et sans entrave» à la région du Xinjiang.

  • L’ambassadrice du Canada a également indiqué que les 44 pays signataires de la déclaration restent «profondément préoccupés par la détérioration des libertés fondamentales à Hong Kong, et la situation des droits de l’homme au Tibet».

La Chine dénonce la situation des Autochtones au Canada.

  • L’envoyé chinois Jiang Duan a par la suite répliqué que Pékin exhorte «le Canada à mettre immédiatement fin aux violations des droits de la personne» dans son pays, en citant les mauvais traitements infligés aux Autochtones et la découverte des dépouilles des 250 enfants sur le site de l’ancien pensionnat de Kamloops. 
  • Cette déclaration chinoise était soutenue par la Russie, la Biélorussie, la Corée du Nord, l’Iran et la Syrie.
Johanna Sabys