ENTREPRENEURS, GESTIONNAIRES, PROFESSIONNELS ENTREPRENEUR·ES et
PROFESSIONNEL·LES

Voici l’info qu’il vous faut:
pertinente, utile et brève

Recevez gratuitement du lundi au vendredi:

et un samedi par mois:

Votre adresse servira uniquement à vous envoyer nos infolettres. Vous ne recevrez pas de courriels publicitaires et vous pourrez vous désabonner en tout temps.

InfoBref vous est offert gratuitement grâce au soutien de:

Un demi-milliard $ pour les cégeps et les universités, et du travail en français

Mis à jour le 29 sept. 2021
par Johanna Sabys
  • La ministre de l’Enseignement supérieur Danielle McCann a présenté hier le plan du gouvernement Legault pour améliorer la réussite dans l’enseignement supérieur. 
  • Québec souhaite avant tout augmenter d’ici l’an prochain la proportion de Québécois qui détiennent un diplôme collégial ou universitaire, et améliorer l’apprentissage du français. 

Québec va investir 450 millions $ sur 5 ans pour bonifier:

  • l’accessibilité à l’enseignement supérieur;
  • les transitions du secondaire au cégep, et du cégep à l’université; et 
  • les initiatives en matière de réussite.

Le Québec «accuse un certain retard», dit Danielle McCann. 

  • En 2019, 29% des Québécois de 25 à 64 ans étaient titulaires d’un diplôme universitaire, contre 32% dans l’ensemble du Canada, et 35% en Ontario.
  • Avec son plan d’action, le gouvernement Legault espère hausser la proportion au Québec de 1,5% d’ici l’année scolaire 2022-2023. 

Un groupe de travail sur la maîtrise du français

Les taux de réussite à l’épreuve de français en fin de parcours collégial «ne sont pas à la hauteur», reconnaît la ministre. 

  • Elle a demandé un «diagnostic» pour savoir comment améliorer l’apprentissage de la langue française dans les cégeps et les universités: un groupe de travail doit se pencher sur la question.
  • Selon Danielle McCann, améliorer la maîtrise du français «est la voie de passage» pour augmenter le taux de diplomation.  

Par ailleurs, la ministre a rappelé que le gouvernement versera également à partir de cet automne près de 60 millions $ sur 5 ans pour la santé mentale des étudiants. 

  • Annoncé fin avril, ce deuxième plan pour la santé mentale doit notamment permettre d’embaucher plus de personnel, et d’élaborer des outils et des programmes en santé mentale.
Johanna Sabys