Les flips immobiliers ne sont pas la cause principale de la surchauffe immobilière à Montréal
Mis à jour le 14 mai 2022
Publié le 13 juil 2021
- C’est ce qu’a conclu la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL), dans un rapport déposé hier.
- L’organisme fédéral observe que les reventes rapides réalisées dans les 12 mois suivant l’achat (communément appelés «flips immobiliers») n’ont représenté que 3% des transactions dans la dernière année.
Cette proportion serait trop faible pour avoir un impact significatif, selon la SCHL.
L’organisme explique plutôt la forte hausse des prix à Montréal par l’offre insuffisante, les bas taux d’intérêt, et le faible taux de chômage.