Un développeur risque 10 ans de prison pour une kill switch chez son ex-employeur
Mis à jour le 18 mars 2025
Publié le 19 mars 2025
Un développeur américain risque jusqu’à 10 ans de prison pour avoir activé une kill switch qui a saboté les systèmes informatiques de son ancien employeur après son licenciement. Le code malveillant, conçu avant le départ de l’employé, aurait causé des dommages de plusieurs centaines de milliers de dollars. [Ars Technica]