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Avec des acheteurs qui préfèrent la banlieue, la bulle immobilière montréalaise commence à se dégonfler

Publié le 8 oct. 2020
par Alain McKenna
Avec des acheteurs qui préfèrent la banlieue, la bulle immobilière montréalaise commence à se dégonfler

(Photo: Unsplash)

  • Alors que la pénurie de maisons à vendre s’accentue en banlieue, le nombre de copropriétés mises en vente sur l’île de Montréal a bondi de 41% en septembre.
  • Pour l’ensemble du trimestre, ça représente une hausse de 72% par rapport aux trois mois précédents, la plus forte hausse en 17 ans, observe l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

Les acheteurs préfèrent les maisons
Les ventes d’unifamiliales en banlieue ont été si élevées le mois dernier qu’elles ont aidé à établir deux records, pour cette période de l’année normalement calme dans l’immobilier.

  • Les ventes d’unifamiliales ont bondi de 47% dans l’ensemble de la région montréalaise.
  • Le délai d’attente moyen pour les vendeurs a été de seulement 46 jours.

Dégonfler vaut mieux qu’éclater
Le marché des copropriétés continue de progresser, mais il le fait à une vitesse beaucoup moins grande que dans les années passées.

  • Le prix médian des copropriétés dans le grand Montréal atteint 318 000 $ en septembre, en hausse de 10%.
  • «Les conditions de marché sont tendues mais toujours en faveur des vendeurs, y compris pour les propriétés moins désirables», explique Charles Brant, directeur de l’analyse du marché de l’APCIQ..
Alain McKenna