Conseil d’affaires
Pourquoi la notoriété est devenue une ressource économique stratégique?
Pendant des années, la notoriété a été méprisée. Réduite à une futilité, un vernis d’apparat, un caprice d’ego.
Cette vision est non seulement erronée, elle est dangereuse. Car dans l’économie actuelle, la notoriété n’est plus un luxe. C’est un levier financier. Elle pèse dans les décisions d’investissement. Elle conditionne l’accès aux opportunités.
Au Québec comme ailleurs, ce sont les entreprises visibles qui captent les opportunités de croissance.
Aujourd’hui, la notoriété vaut un brevet, une base de données clients, une levée de fonds: un actif économique à part entière.
Melissa Amoa, fondatrice du cabinet AMOA, est stratège en notoriété. Elle accompagne les dirigeant·e·s, entreprises et institutions à accroître leur impact, leur visibilité et leur valorisation sur la scène nationale et internationale.
De la perception à la domination
Ce n’est plus l’offre la plus compétente qui gagne, mais celle qui est perçue comme légitime, désirable, incontournable.
La notoriété n’est donc pas un simple amplificateur. C’est un catalyseur d’autorité.
Une entreprise visible, incarnée, alignée stratégiquement inspire plus que la confiance: elle impose l’évidence et facilite le choix du consommateur.
Prenons deux entreprises aux services identiques.
La première mise tout sur la qualité. C’est la seconde qui attire les bons partenaires, fixe ses prix et construit un écosystème d’opportunités.
Sa valeur perçue devient sa richesse.
À l’ère numérique, ce que l’on ne voit pas n’existe pas.
Le marché ne récompense pas toujours le plus compétent.
Il récompense le plus clair, le plus cohérent, le plus visible.
Chaque publication, chaque choix visuel envoie un signal.
Ce signal s’additionne aux autres pour former un actif: le capital de confiance perçue.
Celui qui le construit devient incontournable.
Celui qui l’ignore devient invisible.
L’impact concret sur la valorisation d’entreprise
De plus en plus d’investisseurs évaluent la solidité d’une entreprise non seulement sur ses résultats, mais aussi sur sa visibilité stratégique.
Une marque forte, une dirigeante connue, une entreprise présente dans l’espace public deviennent des indicateurs de confiance. Et parfois, ils doublent la valorisation d’un projet.
Prenons l’exemple d’Omy Laboratoires, une entreprise cosmétique fondée à Québec.
En misant sur une identité de marque forte, une présence médiatique stratégique et une personnalisation poussée, Omy a su se distinguer dans un marché saturé.
Leur notoriété, consolidée par des prix, des collaborations et une image de marque claire, leur a permis d’accélérer leur croissance, d’attirer des investisseurs et d’étendre leur portée au-delà du Québec.
La notoriété n’est pas un luxe.
C’est un actif qui génère des dividendes: appels entrants, attractivité RH, rayonnement international…
Conclusion: capital immatériel, pouvoir tangible
Il est temps de sortir la notoriété du registre émotionnel pour l’installer dans le registre stratégique.
Ce capital immatériel se construit, s’orchestre, se protège.
Il exige une vision sur 12 à 36 mois et une capacité à raconter sa valeur.
Les dirigeants qui comprendront cela plus tôt que les autres auront toujours une longueur d’avance.
Dans une économie où la perception est plus rapide que l’analyse, la notoriété devient le levier ultime pour exister, croître et dominer avec intelligence et impact.
Pour en savoir plus sur la construction d’une notoriété stratégique au Québec ou à l’international, visitez melissaamoa.com